Il faut passer à l’action spontanément, créer l’événement en profitant du constat d’urgence de la situation. Mais il faudrait innover, faire ce qui n’a pas encore été fait et le faire bien, sobrement, sans nous emballer. Prendre notre temps. L’université dans la rue ? Des postes d’info maintenus dehors ? Dialogues en direct avec des canaux étranger avec traducteurs live pour lancer la mode ? Des études stratégiques collectives ? Des services communautaires gratuits ? Pour autant que la chose soit présentée sérieusement, les gens s’y colleront naturellement. Il ne s’agira que de nous appliquer et de nous faire confiance, autre part que devant nos écrans d’ordinateurs (fort pratiques bien sûr). Nous ne sommes pas nés hier, que je sache, nous en avons tous vu d’autres. Il faudra bien tendre la main d’une façon ou l’autre sinon c’est la sclérose. Beaucoup d’autres comme nous ailleurs, dans d’autres pays, ne rateront sans doute pas l’occasion de joindre l’initiative, me semble-t-il.
Droite, gauche, ulp, fn, pas fn, c’est du surplace, du spectacle. Le fait est, nous sommes à peu près tous du même bord, hormis les trolls et les taupes. Il faut déjà faire comme si l’argent n’existait plus. L’argent c’est nous. Alors sortons et travaillons ensemble. Reprenons l’avenir au gré de notre bonne volonté. Au diable les salaires et les banques. On refait tout, calmement, avec les meilleurs et les plus inspirés devant. On se fera de l’électricité à bicyclette s’il le faut, ce ne sont pas les chômeurs qui manquent. Le génie français doit relever la tête et refaire le pays maintenant. On doit aussi ouvrir des canaux de communication avec les américains, les espagnols, allemands, etc. Assurer la fluidité de l’info autant que possible. Mettre nos traducteurs à contribution, nos mécaniciens, nos agriculteurs, nos artistes ... tout le monde doit s’y mettre. Au diable l’argent pour les 5 prochaines années. Ça passe vite 5 ans. Ça nous fera de meilleurs vies et un splendide projet commun.
J’éviterais à tout prix de mettre le feu aux poudres. Il faut sortir, nous parler. Ça prend des « jours debout », à tous les jours où on fait la fête en passant l’info. Ça prend aussi une chaîne d’info qui fait aussi la fête sur Youtube ou ailleurs. Il faut nous creuser les méninges et nous lancer maintenant. Pour peu, d’autres nations emboîteront le pas.