Bayrou n’est plus crédible et, lorsqu’il s’érige en
défenseur des droits et de la démocratie, il ne le fait que pour sa propre pub
et il semble que les violences préparées, ressassées et mises en réserves comme
du congelé, puis réchauffées par les spots de plateau de télévision ou ceux des
élections soient une spécialité MODEM ; cela s’est déjà fait :
A Marseille deux adhérents ont été frappés, de manière
répétée et délibérée, 2 jours de suite, par De Peretti(d’Aix en Provence) que Bayrou a ensuite
confirmé dans ses fonctions de juge du Tribunal interne du MODEM. Bayrou s’est
en plus opposé à ce que ce Tribunal interne examine le recours dont ce tribunal
a été saisi.
Benhamias, DéputéEuropéen(Marseille), témoin des
faits, Vice-Président du MODEM et de nouveau candidat, s’est gardé d’intervenir
et a laissé faire De Peretti. Ce dernier voulait se venger de ce qu’ils avaient
dénoncé ses magouilles à Bayrou et comme au MODEM c’est la loi du silence,
l’omerta, Bayou lui-même veut étouffer l’affaire. Mais il y a eu plainte, avec
une ITT c’est donc à suivre.
Qui donneront les liens vers d’autres articles et blogs
Le Mouvement Démocrate et son appareil n’aime ni la
contestation ni la contradiction, les sondages révélant la fragilité de
l’idolesont donc inacceptables.Bayrou n’ est donc pas le premier du MODEM
qui est incapable de se contrôler, mais pour un prétendant Président de la
République c’est inquiétant . A l’intérieur de son parti qu’il a nommé
démocrate les 3/4 des adhérents qui lui avaient fait confiance pour la présidentielle,
et avaient adhéré, sont partis ! Dégoûtés du manque de démocratie interne,
ayant le sentiment d’avoir été abusés par des discours habiles, l’affirmation
de beaux principes, de valeurs, d’humanisme et de démocratieetc … démentis par les réalités qu’ils ont
constaté à l’intérieur
Alors les intentions, promesses, valeurs etprincipes de Bayrou ...... Même lui s’assied
dessus, comme sur les statuts de son parti.
Il ne pense qu’à la prochaine présidentielle, mais il n’est
plus crédible.
Madame
Eva Joly a eu de bonnes raisons de ne pas faire confiance à ces gens là
….. !
Il ne faut sans doute pas non plus negliger les conséquences de l’ « Affaire Marseillaise » : D’abors les protagonistes locaux (FX DE Peretti, le magistrat cogneur du CCC, soutenu par Benahmias-Madrole-Muller etc ...) ont tenté d’imposer la loi locale du silence, l’ omerta. Puis F. Bayrou lui même, puisque l’ « humanisme c’est de donner la priorité à l’homme », a refusé de répondre aux correspondances à ce sujet, même à celles des victimes ! Puis le CCC qui a refusé de donner des garanties de traitement equitable ( F. Bayrou ayant, entre-temps, reconfuit DE Peretti au CCC et l’ayant même nommé Président, avec l’accord du BUREX et de l’unanilmité des Conseillers Nationaux sauf 6). Silence du « Médiateur des adhérents ». F.Bayrou a refusé les 2 recours statutaires, devant le Conseil National et devant le CCC. Aucune réponse de F.Bayrou aux courriers ! Comme s’il ne s’était rien passé. Sauf que 2 adhérents ont été agressés et ont reçu des coups de DE Peretti 2 jours successifs ( résultat : plainte et 8 jours d’ ITT) et que F. Bayrou abuse de son pouvoir pour couvrir tout cela. Tant de blogs et articles ont relatés les faits qu’ils sont une épine dans le pied de l’appareil local et national.
Les commentaires de ce même auteur, en réponse à un article du Comité de Soutien à un adhérent victime des procédés du Mouvement Démocrate ( publié ici le 13 Mai sous le titre « Un abus de pouvoir au MoDem ? » ) ont fait l’objet d’édifiantes mises au point. La forme humoristique qu’il tente maintenant ici ne changera rien au fond. Si le MoDem n’a rien à voir avec l’industrie cinématographique il semble néanmoins que les procédés et pratiques intérieurs de ce parti soient à l’opposé et démentent les principes et valeurs qu’il prétends publiquement défendre.
Jusqu’à présent François Bayrou, en accord tacite avec ses
barons locaux, a réussi à imposer le
silence sur les très nombreuses contradictions flagrantes des réalités locales
avec les beaux principes qu’il a formulé, et les textes statutaires qu’il a
imposés.
Cela amène à s’interroger :
- Mérite t’il encore l’espoir qu’il a, un temps, suscité ?
- Est il digne de confiance et, par conséquent, digne de se
présenter, crédible, à la magistrature suprême ?
Qu’environ
70 % des adhérents de la première heure-de ceux qui le soutirent pour
l’élection présidentielle-aient maintenant, de fait, quitté le
Mouvement Démocrate (Démission ou non renouvellement), et que, parmi les 30000
qui restent, certains n’ aient pas renouvelé leur adhésion non plus (15000 seulement ont eu le droit de voter lors d’une consultation interne !), est une
indication de sa crédibilité, et de la solidité de la base restant active ....
Ceux qui, après lui avoir fait confiance, ont maintenant lesentiment au mieux
de s’être trompé, au pire d’avoir été abusés, sont de plus en plus nombreux. En
réponse au caractère publicitaire de l’article ci-dessusl’ attention de l’ensemble des citoyens doit
maintenant être attirée sur les réalités du Mouvement Démocrate et de l’espoir
qu’il peut encore représenter. François Bayrou n’est probablement pas, malheureusement, ni un espoir raisonable ni une possibilité de changement crédible, entre les deux partis dominants actuels ; il a déjà trompé ceux qui lui firent confiance depuis le lancement de l’idée du Mouvement Démocrate.
Par delà le caractère très assuré et affirmatif du titre, quasiment publicitaire, nous trouvons un texte rassemblant lieux communs et affirmations banales, ne reposant pas sur des données établies ; l’enseignement de la philosophie n’y prédispose en effet pas. L’auteur reste cantonné dans un ensemble de généralités, soulignées par les divers commentateurs, dont Gabriel et Philippe de Renève qui relève l’aspect "sympathique", de ce qui me semble démagogique,et me rappelle l’esprit d’une courte bande dessinée quotidienne publiée par "Le Monde" dans les années 1980 relatant les conversations des Trois personnages-titres " Sinon, Yaka et Pitucé ". Quand aux ses soucis, de principes affichés, d’éthique et de démocratie il semble que son Conseil Départemental, au moins, évalue ce qu’il en est des seconds alors que, quand aux premiers, ses actes de violences, prémédités et répétés sur Deux adhérents amènent à s’interroger sur ses raisons à publier un mois plus tard un article de cette consistance Dans son département les adhérents du MODEM attendent toujours de connaître les chiffres détaillés des élections fédérales : nombre de votants, de suffrages exprimés, de blancs et de nuls pour chacun des Trois scrutins. Les affirmations de démocratie ne sont guère confirmées par les faits. Le Hibou.