Ardent défenseur de la "Deep Ecology", enseigné par feu le philosophe norvégien Arne NAESS, qui considére que l’homme ne peut pas se considérer comme indépendant de la nature.
Voilà ce que tout authentique écologiste et défenseur de l’environnement devrait souhaiter. Pourquoi ?
Pour au moins 3 raisons :
1/ La burqua et le voile intégral qui cachent, par tradition religieuse, le corps des femmes musulmanes participent indirectement à la lutte contre le gâchis écologique que génèrent les « modes et tendances » vestimentaires, sans parler des « accessoires » qui accompagnent ces modes éphémères, tels ces colifichets, colliers, bracelets, bagues en plastique, etc, tous issus du pétrole devenu rare et cher.
Indirectement ces femmes musulmanes jouent un rôle important dans la préservation de nos ressources textiles, de coton notamment, et aussi au niveau de la transformation de ces textiles, de leur transport, puis de leur destruction lorsque la mode est éteinte. Le coût environnemental serait considérable si l’on estime à 500 millions le nombre de femmes qui seraient voilées sur cette planète. Moins de CO2, moins de sols pollués, moins de fleuves assèchés et pollués, une eau douce économisée et mieux partagée, évitant la fameuse « guerre de l’eau » du XXI éme siècle.
La burqua éviterait évidemment non seulement un fléau au niveau des sols qui produisent ces textiles, sols qui deviennent tellement chargés en pesticides et insecticides qu’ils sont condamnés à mourir, mais aussi parce que ces cultures de coton réclament énormément d’eau douce au point d’assècher complètement des régions comme dans le Caucase par ex.
Donc la burqua (ainsi que la crise économique) sont un bienfait pour l’insultante course aux fringues que pratiquent nos pays nantis.
Une contrainte religieuse au service de la planète ! Qui aurait pu imaginer un tel cadeau, et donc à pratiquer sans retenue pour l’ensemble des femmes sur notre planète. Une certaine tolérance pour les « fashion victims » pourrait être accordée au « grillage » des burquas afin que L’Oréal et les grands fabricants d’eye liner ne mettent pas tout de suite la clef sous la porte !
2/ L’aspect extérieur étant caché par une burqua, les femmes seraient amenées à mettre ainsi en valeur leur richesse intérieure au lieu de singer les bimbos en strings qui n’ont d’autres arguments que leur poitrine ou leur fesses.
3/ Les hommes devraient à leur tour, et pour les mêmes raisons évoquées plus haut, passer rapidement au costume Mao afin de limiter les excès dus aux désastreuses « modes et tendances », qui créent des objets sans lendemain en puisant dans nos maigres ressources terrestres.
Ainsi naîtrait une nouvelle civilisation fondée non plus sur la possession extérieure, ou sur le paraître mais sur la richesse intérieure qui existe en chaque individu, pourvu qu’on le libère du carcan de la mode, de la tendance et du paraître !
Voilà ce que tout authentique écologiste et défenseur de l’environnement devrait souhaiter. Pourquoi ?
Pour au moins 3 raisons :
1/ La burqua et le voile intégral qui cachent, par tradition religieuse, le corps des femmes musulmanes participent indirectement à la lutte contre le gâchis écologique que génèrent les « modes et tendances » vestimentaires, sans parler des « accessoires » qui accompagnent ces modes éphémères, tels ces colifichets, colliers, bracelets, bagues en plastique, etc, tous issus du pétrole devenu rare et cher.
Indirectement ces femmes musulmanes jouent un rôle important dans la préservation de nos ressources textiles, de coton notamment, et aussi au niveau de la transformation de ces textiles, de leur transport, puis de leur destruction lorsque la mode est éteinte. Le coût environnemental serait considérable si l’on estime à 500 millions le nombre de femmes qui seraient voilées sur cette planète. Moins de CO2, moins de sols pollués, moins de fleuves assèchés et pollués, une eau douce économisée et mieux partagée, évitant la fameuse « guerre de l’eau » du XXI éme siècle.
La burqua éviterait évidemment non seulement un fléau au niveau des sols qui produisent ces textiles, sols qui deviennent tellement chargés en pesticides et insecticides qu’ils sont condamnés à mourir, mais aussi parce que ces cultures de coton réclament énormément d’eau douce au point d’assècher complètement des régions comme dans le Caucase par ex.
Donc la burqua (ainsi que la crise économique) sont un bienfait pour l’insultante course aux fringues que pratiquent nos pays nantis.
Une contrainte religieuse au service de la planète ! Qui aurait pu imaginer un tel cadeau, et donc à pratiquer sans retenue pour l’ensemble des femmes sur notre planète. Une certaine tolérance pour les « fashion victims » pourrait être accordée au « grillage » des burquas afin que L’Oréal et les grands fabricants d’eye liner ne mettent pas tout de suite la clef sous la porte !
2/ L’aspect extérieur étant caché par une burqua, les femmes seraient amenées à mettre ainsi en valeur leur richesse intérieure au lieu de singer les bimbos en strings qui n’ont d’autres arguments que leur poitrine ou leur fesses.
3/ Les hommes devraient à leur tour, et pour les mêmes raisons évoquées plus haut, passer rapidement au costume Mao afin de limiter les excès dus aux désastreuses « modes et tendances », qui créent des objets sans lendemain en puisant dans nos maigres ressources terrestres.
Ainsi naîtrait une nouvelle civilisation fondée non plus sur la possession extérieure, ou sur le paraître mais sur la richesse intérieure qui existe en chaque individu, pourvu qu’on le libère du carcan de la mode, de la tendance et du paraître !
« L’avenir passe sans doute par une allocation globale de quotas par type d’utilisation »
Tout à fait d’accord avec votre analyse,mais il y a un aspect dans l’utilisation de l’eau douce qui n’est jamais abordé,c’est celui de son utilisation NON NECESSAIRE pour des produits de mode qui par définition se servent de ce bien précieux qu’est l’eau douce pour produire des vêtements « tendance » qui le mois prochain ou l’été prochain auront disparu des vitrines.
Tous les textiles,gros consommateurs d’eau douce,le coton en particulier,ne devraient plus figurer sous forme de vêtements à la mode dans les vitrines de nos riches magasins occidentaux,tant leur consommation éphémère fragilise les réserves non polluées encore existantes.
Les créateurs de mode se servent honteusement de la mode (jeans ,T shirts) pour attirer les jeunes femmes et autres accros branchés au détriment d’une ressource commune qui va se faire rare si l’on considère l’augmentation de la population mondiale.
Economisons l’eau potable en refusant ces modes stupides,grandes consommatrices de l’INUTILE et du NON NECESSAIRE !