"Confié dans un premier temps au parquet de Créteil, le dossier judiciaire aboutira à Paris au cabinet du juge d’instruction Alain Verleene. Lequel finira bientôt par apprendre que les gendarmes qu’il a entendus ont menti sur ordre : le commandant de gendarmerie Jean-Michel Beau, notamment, qui se trouvait à Vincennes avec Barril. Beau, c’est la cheville ouvrière du coup tordu. Celui à qui Barril et Prouteau ont demandé de régulariser la descente de Vincennes ; celui aussi à qui on demandera de se sacrifier lorsque l’affaire tournera en eau de boudin
Beau marchera un moment. Mais il aura de plus en plus de mal à accepter son rôle de fusible et finira par mouiller Prouteau et Barril. Il est vrai que entre-temps, le juge Verleene aura remis les « Irlandais » en liberté le 20 mai 1983. Et en 1985, Jegat ira tout expliquer de A à Z à la DST."
- Comme vous semblez ne pas savoir lire, j’ai un peu grossi !
- Et je répète que le journaliste qui a écrit ça à l’époque, n’a pas été poursuivi pour diffamation !
Monsieur, des officiers supérieurs et subalternes se sont grandis en refusant des ordres iniques.
- Beau a été partie très prenante au montage de cette carambouille. Il n’a rué dans les brancards que très longtemps après, lorsqu’il a compris qu’il pourrait plonger seul.
-Ne pas confondre Officier et agent de renseignements s.v.p
- Et puis, par curiosité, intéressez vous aux manipulations dans Wiki.