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Howard Roark

Né à Brive-la Gaillarde en Corrèze. Libéral.

Tableau de bord

  • Premier article le 04/06/2007
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Derniers commentaires



  • Howard Roark 30 mars 2008 00:08

    Ouais facile comme réponse....... et bien quand tu auras le temps je serai curieux de te lire. Pour répondre globalement à celles et ceux qui m’ont fait de vraies objections, je dirai qu’il est en effet illusoire de prétendre qu’il existe un modèle parfait et que celui que je défends comporte de nombreux risques qu’il convient de mesurer politiquement parlant. Ce qui ne doit pas empêcher à la réflexion de développer une logique jusqu’au bout. Mais je suis loin d’être un dogmatique.

    Il me faudrait à moi aussi un article presque aussi long pour démontrer que vous attribuez à une philosophie politique telle que le libéralisme des maux dont sont responsables un pragmatisme politique batard, pseudo libéral dans lequel l’Etat se fait le complice des possédants contre les plus faibles. Et je reste persuadé que l’interventionnisme et l’hyper règlementation sont des problèmes qui se prennent pour des solutions, et rien n’a prouvé leur efficacité.

    Il y aurait très long à dire sur la justice sociale et l’égalité des chances réelles dans notre Etat jacobin républicain. Trop pour que l’on puisse me donner trop de leçons (même si toutes sont bonnes à prendre, à écouter)



  • Howard Roark 28 mars 2008 21:24

    C’était un exercice de réflexion poussant jusqu’au bout une logique.

    Non, je ne suis pas un apprenti-sorcier, ceux qui auront cliqué sur mon pseudo avant de me vomir dessus auront vu que je me suis, par exemple, positionné contre la suppression de la carte scolaire.

    Oui, je suis Libéral, souhaitant un Etat certes réduit mais efficace, juste et impartial. Pratiquer la diabolisation du libéralisme en confondant cette philosophie avec les excès de la mondialisation capitaliste évite de réfléchir sur les échecs du socialisme et sur les défaillances lourdes de l’Etat Providence.

    Etre à ce point mis au banc sous le flot des insultes révèle à quel point il est impossible d’essayer de penser autrement, simplement d’oser penser et écrire : je n’ose imaginer ce que me feraient certains contradicteurs s’ils m’avaient en face d’eux. Je le repète, on peut ne pas être d’accord avec moi, mais la dévalorisation humiliante des qualités humaines de quelqu’un que l’on ne connait pas en guise de réponse me parait relever d’un esprit totalitaire bien plus dangereux que mes écrits.

    Oui je suis fonctionnaire. Et alors ? c’est quoi ce simplisme à deux balles qui m’interdirait de critiquer l’institution dans laquelle je travaille ? Non je ne suis pas à 35 h, mais bien au-delà, et si ceux qui m’imaginent nantis savaient combien je gagne réellement, ils ravaleraient leurs propos. Quant à celui qui me croit sorti d’une école de commerce, je rigole.

    Et je suis sûr qu’il y a parmi mes contradicteurs des gens qui pensent que dès lors que l’Etat fournit à tous une instruction gratuite et un logement, il faut fermer les yeux sur les emprisonnements d’opposants (cuba). Ceux là n’oseront jamais développer leurs thèses : ils préfèreront insulter les gens qui pensent autrement. Le commentaire agressif est plus aisé que l’écriture d’un article.

    J’ai une vie associative riche qui me place au contact des gens qui souffrent, des exclus : je souhaite à tous les héros de la solidarité de guichet avec l’argent des autres d’en faire autant.

    Et puis, n’ayant lu aucun ou quasiment aucun contre-argument, j’arrête là ma défense : tout cela ne mérite pas tant.

    Merci à certains d’entre vous pour la modération de vos propos.



  • Howard Roark 28 mars 2008 17:33

    Et bien,

    j’aurai écrit Mein Kampf que je n’aurais pas encaissé autant d’insultes. Calmons nous, il s’agit d’une tribune de réflexion dans un espace démocratique. Et je tiens à témoigner de tout mon respect à l’égard de mes contradicteurs.

    Je ne pense pas avoir fait l’apologie des sérials killers pour mériter cette violence verbale, c’est pourquoi je remercie celles et ceux qui m’ont fait part de leurs désaccords .... argumentés.

    Je ne crois pas que l’invective grandit ceux qui s’y prêtent, surtout que je suis en mesure de comprendre leur émotion et discuter calmement avec eux.



  • patrice vezine 4 juin 2007 21:11

    Cher Monsieur,

    Il ne s’agit pas d’être pour ou contre la liberté ou de contester les différences entre les enfants et la nécessité d’une plus grande liberté pédagogique.

    La problématique de mon article est de savoir si une liberté formelle se traduit par une liberté réelle ancrée dans l’égalité des chances et permettant un véritable choix ouvert à tous et à toutes.

    Force m’est de constater que votre commentaire ne rend aucun arbitrage sur ce sujet.

    Ne nous trompons pas de combat, tout le monde veut la liberté et permettre à chaque pied de trouver sa chaussure adaptée : mais que cela ne trahisse pas nos valeurs républicaines en renforçant les inégalités sociales et territoriales.

    L’éducation mérite bien qu’on y réfléchisse à deux fois... et à plusieurs.


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