Vous n’avez probablement pas repris textuellement des passages écrits que l’on retrouve chez Krishnamurti, ce que je peux concevoir pour quelqu’un qui l’a beaucoup étudié, mais vous le paraphrasez en ce cas de manière vraiment troublante...
« le conflit généré par le désir est plus subtil et plus difficile à appréhender. Et c’est là toute la complexité des relations humaines, avec toutes ses incompréhensions, ses angoisses, ses malheurs, ses souffrances par lesquelles passent tout être humain sur cette planète indépendamment de sa culture, de sa nation, de son éducation ou de sa religion. » par exemple...etc
Le message que vous faite passez est d’une telle ressemblance, dans la forme comme dans le fond, qu’il aurait néanmoins été utile pour les autres lecteurs que vous leur rappeliez dans cet article une nouvelle fois quel auteur vous a inspirer ces reflétions si pertinantes.
L’enseignement de Krishnamurti mérite d’être mis en lumière plus souvent et encouragé à chaque fois que possible, étant par nature assez difficile à exposer profondément en quelques paragraphes, comme vous l’avez déjà fait effectivement (je ne le savais pas alors..) vous conviendrez qu’un peu de répétions ne peux nuire a personne..et la lecture de ses écrit est absolument nécessaire pour mieux le comprendre.
Quoi qu’il en soit je lirai vos autres articles avec intéret ..à commencer par celui de K ;)
Pourquoi ne précisez vous jamais que la presque totalité de « vos » interventions sur ce thème de la religion et de l’esprit religieux, (qui sont deux choses totalement différentes nous sommes d’accord,) sont des passages entiers extrait des textes et causeries de KRISHNAMURTI ?? ....
Je suis un grand lecteur de Krishnamurti et de ses enseignements. Il est certainement l’un des plus grands sages et « penseur » du 20 eme siècle. (même si le mot « éveilleur » lui conviendrai bien plus).
Je suis étonné que vous ne citiez pas une seul fois vos sources !!..
Vous auriez mieux fait sans doute de rédiger un article parlant précisément de l’enseignement précieux qu’il nous a laissez dans ses ouvrages.
Cet article mélange tout. On parle de Corrida là ...ou de Philipe Val ?
Si je ne suis pas un fervent amateur de Philipe Val, loin de là, surtout par rapport à ses dernières prises de positions médiatiques, à la lecture de cet article et en lisant la matinal de Val, bien obligé de reconnaitre que son discourt sur le fond est on ne peut plus défendable.
Ce qui est critiquable en revanche c’est le ton teinté de mépris dont il fait souvent preuve pour parlé de tous ceux qui ne pense pas comme lui. Bien entendue les quelques injures qu’il égraine ça et là, pour la part de quelqu’un de médiatique,et donc d’écouté, est totalement déplacé et injustifiable également. Si la cause qu’il défend est très juste, le ton qu’il emploie ne peut que mettre de l’huile sur le feu au lieu de faire réfléchir plus profondément les personnes conçernés.
Ceci étant dit, passons à plus important.
La lecture de l’article de " PM " est aussi, voir bien plus choquante par moment que la matinal de Val.
On a sérieusement l’impression que PM est un défenseur caché de la barbarie qu’est effectivement la Corrida.
Non les mots de Val ici non sont pas trop forts ni déplacés.
Comment qualifié autrement que de Boucherie et de Barbarie une mise a mort violente et cruelle d’un animal que l’on transperce de toute part.
Petite description pour ceux qui veulent savoir comment ça se passe en détails. Cela commence avec le picador qui, bien à l’abri sur son cheval, enfonce une pique (sorte de lance, possédant une pointe en acier acéré), à plusieurs reprises, au niveau du garrot de l’animal, provoquant de douloureuses blessures afin de l’affaiblir...
section des muscles du cou, hémorragies, entailles pouvant atteindre 20 cms de profondeur, voire même côtes cassées ; dès cette première étape, le taureau est déjà, le plus souvent « massacré ».
Ensuite six harpons, appelés pudiquement ‘banderilles’ sont plantés et restent dans le dos du taureau, bougeant douloureusement au gré de ses mouvements. Si vraiment ça ne marche pas, alors les finitions sont faites au poignard. Est-ce terminé ? Non je ne crois pas, car si le boucher en tutu a bien travaillé, il a droit à une ou deux oreilles ou la queue. Je ne doute pas un instant, que dans certains cas, l’animal peut être encore vivant au moment où on lui coupe les oreilles.
Arretons la les détails sordides, bien que certains ici sur ce forum semblent être assez indifferent par tant d’horreurs.
La Corrida EST une TORTURE, et elle est malheureusement l’une des multiples formes de la BARBARIE dont peut s’enorgueillir l’espece humaine.
Nier ce fait montre soit un cynisme total , doublé d’une malhonneté morale effarante, soit signifie le plus total manque de sensibilité envers la souffrance d’un autre être vivant.
Si tout cela est jugé assez cyniquement de "Sensiblerie" à la "bardot" par l’auteur de l’article, alors je suis heureux de faire partis de ces gens.
Lorsque Val dit : « L’indifférence à la sensibilité animale n’est jamais très éloignée de l’indifférence à la sensibilité humaine »
On ne peut qu’etre daccord. Comment pourrait on tranquillement assister pendant quelques heures à une boucherie sanglante, un verre de rouge a la main et sous les clameurs de la foule, puis l’heure d’après allez tenir de beaux discours humanistes sur la paix entres les peuples....la non violence etc....
On croit rêver !!
Gandit a dit : "On peut juger de la grandeur d’une nation par la façon dont les animaux y sont traités".
C’est une vérité très juste.
Je me permettrait toutefois d’elargir sa citation en la modifiant un peu ,et d’élargir du meme coup le sujet de départ : on peut juger du degré de civilisation de l’espèce Humaine par la façon dont le "Vivant" y est traité.
Lorsque l’on voit comment le Vivant ( la terre, les espèces animales, etc....) sont considérés de manière générale comme une simple valeur marchande, on peut avoir un assez bon indicateur de notre degré de civilisation ...proche du zéro.
L’endoctrinement et les vieilles traditions périmés que nous avons tant de mal à abandonner. Endoctrinement familial,( à ce titre le petit Miguelito en est un triste exemple), endoctrinement communautaire,politiques, religieux, ou National, etcetc...la liste est longue.. sont nos fardeaux quotidien qu’il serait grand temps de comprendre pour mieux les dépassé, voir les rejeter définitivement pour certains d’entre eux.
Nos problemes de sociétés sont tous liés entres eux, et mépriser ou traiter de problemes de secondes zones les souffrances que nous faisons subir a l’ensemble du règne Vivant ne nous fera certainement pas grandir et avancer.