Cet homme est un sauvageons ! Il n’a rien retenu de l’éducation qu’il a reçu ! ou du moins a-t-il pensé qu’il pouvait s’éduquer lui même ! Servez lui des ris de veau aux morilles, il boira du Coca light avec !
En fait, elle saute sur l’occasion pour jouer un rôle qu’elle a déjà vu mille fois jouer par son mentor et inspirateur ! Elle vient pousser la larmichette auprès des gens qui souffrent, récupérer un peu de la sympathie que la population leur accorde ! ça s’appelle instrumentalisation et récupération ! soyez moins naif ! tout est bon à prendre !
Bien sûr et qu’on nous ment encore ! Il faut aussi prendre en compte tout ceux qui ne travaillent pas ou qui aimeraient travailler plus, mais cette fois-ci pour pouvoir vivre correctement (caissières, mi-temps imposé, chômeurs en fin de droit qu’on laisse moisir socialement, etc ...). J’ai pour ma part connu les affres du RMI et je vous assure qu’il a fallu une énergie incroyable pour sortir du trou. Reprendre confiance en soi est une chose extrèmement compliquée. Je remercie la structure locale qui m’a permis de retrouver confiance et dignité.
A quoi servirait de supprimer les échelons administratifs locaux ? A mettre encore plus de distance entre le terrain et les populations et les centres de décision. Non, il faut arrèter avec ces thèmes démagogiques et idéologiques. Les économies seraient ridicules par rapport à l’efficacité. Car les Maires et les Conseillés Généraux sont efficaces et la plupart de bons gestionnaires.
Le vrai problème du déficit, c’est que notre pays, contrairement à l’Allemagne, a un tissus d’entreprises trop petites ou trop grandes.Les moyennes PME (3500/4000 salariés) sont trop peu nombreuses. Nos PME ne font pas le poids tant sur la compétitvité que sur la partie Recherche et Dévelopement. Notre appareil industriel est obsolète et malgré l’inventivité et l’expertise des petits entrpreneurs, les concurrents sont plus agressifs et disposent eux de vrais potentiels industriels et commerciaux.
Mettons aussi de l’ordre sur le plan social. Arrètons de payer les gens une misère et offrons la possibilité à ceux qui veulent travailler de le faire ... Le monde du travail ne doit pas se brader, mais pour cela, il faut d’abord réorganiser notre système de production. Les 35 h étaient en soi une bonne idée mais peu ont joué le jeu de la répartition du travail ... Formons aussi les entrepreneurs qui ont souvent des vues à court terme, et qui gèrent leur boutique comme il y a deux siècles. Y’a de quoi faire !