Moi, je suis nul en scientisme. Que l’on m’explique, si les calottes fondent, à quelle température l’eau de fonte se mêle-telle à l’eau de l’océan ? Et quelle serait l’action sur le Gulf Stream ? Parce que s’il s’arrête, il va falloir prévoir du chauffage pour presque toute l’année.
Vous êtes innocents ? Croyez-vous qu’à part quelques Don Quichotte les politiques en place auraient intérêts à dénoncer les magouilles des uns et des autres ? Parce que, à gauche il n’y aurait pas de personnages douteux ? Pour changer tout cela et moraliser la vie et les pratiques politiques, il est nécessaire de renouveler ce personnel politique. A vue de nez, ce n’est pas demain.
Parce que vous y croyez à la révolte des plus démunis ? Pour l’instant en Grèce, la population subit, ou elle part, en Espagne, il y a un peu plus de mécontent dans la rue et un grande nombre de jeunes qui partent. En France,on attend les élections, combien de temps durera l’engouement pour Mélenchon . Tant que l’économie ne sera pas au service des populations, je crains que pas grand chose ne change.
Toute la gauche c’est 45% des électeurs (sans les abstentionnistes), les Centro gauche, Centro droitiste, l’UMP et le FN, c’est le reste, toujours sans compter les abstentionnistes et les votes blancs) Il faut que la Gauche aille chercher des votes au Centre pour atteindre les 51%. Selon la boule de cristal des sondages environ 15% ( à vérifier) des électeurs du Front de Gauche ne voteront pas pour Hollande. Donc, ce n’est pas gagné. Côté Sarkozy, il sera confronté également au report des voix. L’élu qui sortira du chapeau sera majoritaire en nombre de suffrages exprimés, et minoritaire par rapport au nombre d’inscrits. Je lui souhaite bien du courage, il n’est pas certain qu’il aille jusqu’à la fin de son mandat, si la colère des spoliés par l’économie financière continue de croitre.
Rêve ou cauchemar, mais pour N. Sarkozy cela ne va pas fort dans les sondages. Ce matin, une publication de la sphère sondagière, situe Hollande à 30% et Sarkozy à 23%. Au mieux environ 70% des personnes interrogées ne veulent ni de l’un de l’autre, sans compter les abstentionnistes, qui, parait-il sont de plus en plus nombreux.