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Icks PEY

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Oui, peut-être mais pas seulement.

Tableau de bord

  • Premier article le 21/12/2006
  • Modérateur depuis le 26/04/2007
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Derniers commentaires



  • Icks PEY Icks PEY 21 décembre 2006 14:37

    Ce débat lancé par BRETON manque singulièrement de claireté et il faut reconnaître que les réactions de l’opposition socialiste ne contribuent pas à rendre les choses plus compréhensibles.

    Il faut comprendre que l’impôt sur le revenu est actuellement payé en décalage d’un an avec paiement d’acomptes provisionnels mensuels ou trimestriels.

    Autrement dit, on paie en septembre/octobre 2006 l’impôt sur les revenus 2005 mais pour lesquels on a payé des acomptes fin 2005 courant 2006.

    Lorsque BRETON dit que l’année 2008 pourrait être exonérée, il a théoriquement raison : selon sa proposition, fin 2008 on solderait l’impôt sur les revenus 2007 (ancien système) et à partir de 2009, on paierai « en temps réel » l’impôt du sur les revenus 2009.

    Donc, logiquement : aucun impôt ne sera jamais perçu sur les revenus 2008. Or, cela ne veut pas dire qu’on ne paiera aucun impôt en 2008.

    Car le prélèvement à la source a pour effet de faire cesser le décalage d’un an de l’ancien système : dès début 2009, on payerait l’impôt sur les revenus 2009.

    Autrement dit de gauche comme de droite, ils ont à la fois tort et raison : oui, l’année 2008 serait fiscalement blanche dans le sens où les revenus perçus en 2008 ne serviraient jamais comme base à l’impôt mais non, il n’y aura pas d’augmentation du pouvoir d’achat.

    Mais cela ne résoud pas la question de savoir comment contrecarrer les tentatives évidentes d’abus sur les revenus 2008 (prévoir versements massifs de prime exceptionnelle courant 2008 !!!).

    Bien cordialement,

    Icks PEY



  • Icks PEY Icks PEY 21 décembre 2006 14:01

    Merci pour votre commentaire. J’y relève votre phrase suivante :

    « Votre article participe de cet effet de loupe mediatique aliénant, faisant d’une cause qui n’en vaut pas la peine, une priorité pour notre logiciel moral galvaudé par un conditionnement général dictatorial. »

    Je ne sais pas de quel « logiciel moral » vous parlez, mais je souhaite attirer votre attention sur le fait que mon article n’accuse personne en particulier. Au contraire, je signale que les raisons du refus des guides de participer au secours méritent d’être entendues et je les expose. Egalement, je pose la question de l’incongruité qu’il y avait à mobiliser hommes et hélicoptères à Chamonix alors qu’on en avait tant besoin ailleurs, sur le front algérien notamment.

    Je perçois donc parfaitement votre position et je souligne mon souhait de narrer les choses de façon dépassionnée et équilibrée.

    Car d’un autre côté, je pose également la question de savoir si on peut refuser d’aider quelqu’un sous prétexte qu’il a directement contribué à situation ? Un commentateur parle des aspects financiers et cette allusion est intéressante car elle était déjà très présente. A l’époque, on avait parlé d’un coût global, hélicoptère crashé inclus, d’environ 2,5 millions euros d’aujourd’hui.

    Sur ce fondement, par exemple, doit-on refuser les premiers secours à un suicidé ? Autre exemple : doit-on refuser de soigner un accidenté de la route qui était fortement alcoolisé ? Existe-t-il un seuil au-delà duquel sauver une vie couterait trop cher ?

    Autrement dit, je pose la question de savoir jusqu’où peut-/doit aller notre obligation d’assistance et de secours à personne en danger ?

    D’autres questions me hantent également : peut-on déclarer mort un individu sans preuve certaine ? Dans l’affaire qui nous occupe, il apparait qu’un des deux alpinistes était très probablement vivant lorsqu’on a décidé de dire qu’il était mort. Dans quelles conditions le doute peut-il exister dans un process de constatation d’un décès ?

    C’est cela ce que j’appelle en intro la « face sombre de notre humanité ».

    Bien cordialement,

    Icks PEY



  • Icks PEY Icks PEY 21 décembre 2006 11:43

    Merci pour votre commentaire.

    Je ne crois pas que les éléments que vous indiquez soient en opposition avec les miens. Les secours en montagne existaient, bien sûr, avant 1956, mais ils n’étaient opérationnels qu’en période estivale. En tout cas, tel était le cas à Chamonix.

    Ensuite, toujours à Chamonix, il s’agissait d’un roulement assuré à titre gracieux par l’EMHM (Ecole Militaire de Haute Montagne), l’ENSA (Ecole Nationale de Ski et d’Alpinisme) et la compagnie des guides. Il ne s’agissait donc pas d’une structure à proprement parler de professionnels spécialisés dans le secours en montagne et rémunérés pour cela.

    Enfin, sur la récurence avec la couverture médiatique officielle, je souhaitais approfondir le contexte de l’époque ainsi que les différentes problématiques humaines posées par cette affaire, chose que ne peut pas se permettre de faire un JT de 20h00 dans un décrochage de quelques minutes.

    Bien cordialement,

    Icks PEY

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