Voici un
commentaire que j’aie écrit, il y quelques jours, sur le site de "Le
citoyen engagé", à propos d’artefacts et que je replace ici
avec son lien. Il rentre dans le cadre du "croire ou ne pas
croire" à toutes les formes de propositions qui viennent à
nous : complot, E.T, reptiliens, etc... et propose une attitude à
aborder devant ces événements. Qui quoi que l’on en pense,
participe à un certain taux de stress, ou si cela ne semble pas
présent aujourd’hui, va tendre à le devenir, vu que le but ultime
reste quand même l’assujéttisement de la masse humain, ainsi qu’une
bonne rédurction de cette dernière.
Toujours à la recherche de l’essentiel
à ce que je vois...
Bien sûr que si l’on a pas une vue
globale -comme dans la pratique naturopathique-, de l’existence, de
l’individu, de son environnement, du monde, de l’univers, on ne
peut-être qu’hermétique -comme je le vois souvent-, à tout ce qui
touche à la vie, ou seulement penser qu’il puisse exister quelque
chose d’autre en dehors de notre monde.
Mais ces témoignages sont-ils vrais,
sont-ils faux, comme le demande ton sondage ? Pour y répondre, je
vais emprunter le chemin qui gère, dirige, conditionne notre pensée
et altère notre jugement.
L’ouverture de l’esprit nous dit le
zen -ou toute autre discipline d’introspection et de méditation-,
est conditionnée par la peur. Maîtrisons notre peur et nous
maîtriserons notre monde intérieur, afin d’être plus fort pour
comprendre et lutter si nécessaire dans le monde extérieur.
Travaillons sur notre corps,
assainissons-le, essayons d’organiser notre vie autour d’un axe
d’hygiène vitale, d’hygiène de vie, essayons d’inclure dans notre
quotidien, un espace ou des espaces où nous nous permettons de
décrocher momentanément du reste de l’agitation du mental et de ses
représentations extérieures qui l’envahissent. Puis, après avoir
installer le calme, fort de cette réénergétisation profonde,
revenons dans l’arène.
Et nous nous rendrons vite compte que
nous percevons mieux les messages qui nous sont envoyés -comme pour
ces artefacts-, et nous lutterons plus efficacement, s’il en est
besoin, contre la manipulation mentale. Car notre esprit critique
passe invariablement par la qualité de notre sérénité. Et dans
les temps futurs, nous allons sérieusement en avoir besoin... de la
sérénité. Pour faire court, on peut dire que la relaxation -ou la
méditation-, est la technique qui développe l’intuition et
renforce le jugement rationnel. Deux éléments qui maîtrisés font
des miracles.
Donc dans les deux cas : si ces
témoignages vidéos sont réels, je n’en serais pas étonné, si ces
témoignages sont faux, je ne le serais pas plus, ni moins. Je tiens
à souligner que ces lignes ne sont absolument pas hors de propos,
car elles répondent à la question de l’état de notre esprit qui
reçoit, analyse, juge puis propage une pensée qu’il a d’un
événement. Et comme le dit une maxime yogi : « L’être humain ne
pense pas, il se laisse penser. » Ce qui revient à dire, que
seulement une infime partie des choses qui se promènent dans notre
mental, nous appartiennent réellement -la CIA le sait pertinemment,
elle !-. Et pour faire la différence du bon grain de l’ivraie,
il faut faire le tri, et la meilleure technique est le ralentissement
du flux de nos pensées. Si ces messages sont authentiquement
positifs, notre esprit sera mieux à même de les capter. Si ceux-là
sont le fruit de manipulations démoniaques -proches ou lointaines
dans le temps-, notre esprit sera plus apte à désamorcer les
multiples effets négatifs. Dans les deux cas, c’est tout bonus.
Mais ceci dit, à qui s’intéresse et
sait chercher dans la bonne direction, il ne fait aucun doute que
nous avons été visités, et que nous sommes toujours visités. Il
n’y a qu’à voir comment les USA et autres gouvernements font
l’omerta sur le sujet, et cherchent à nous perdre dans la confusion.
Aux vues des milliers de témoignages, d’ouvrages sérieux, de
vidéos, de gouvernements d’Amérique latine qui enquêtent sans
problème sur la question, il faudrait être carapaçonné
mentalement pour ne pas seulement émettre des doutes légitimes sur
le fait que l’on nous cache l’essentiel. Accepter cela, ne veut pas
dire que l’on a pas un œil bien ouvert sur le projet Blue Beam ou
autre HAARP, bien entendu.
Je ne sais pas si vous avez
remarqué, mais pour ma part, je trouve la diction de Hollande très
particulière, comme hésitante. D’une manière générale, il a une
façon d’énoncer ses mots avec des espaces entre les syllabes, qui
lorsqu’on les écoute -sans l’image-, ses phrases paraissent
saccadées. C’est plus ou moins subtile, perceptible, mais néanmoins
bien présent. J’ai cette désagréable sensation que le discours du
personnage sonne faux. Et ce qui pourrait passer pour de la mesure,
ressemble en fait à un manque d’assurance, de confiance en soi. En
fait mon intuition me dit que le gars ne croit pas véritablement à
ce qu’il dit. C’est ballot pour quelqu’un qui doit convaincre. Non ?
Enfin bon... cela ne reste qu’une
impression... de musicien et mélomane... et d’électeur.
The Artist, un engramme de plus dans nos mémoires !
Le cinéma Us qui inonde l’Europe et le
reste du monde, n’a qu’un seul et unique objectif, celui de propager
la pensée américaine. C’est véritablement une arme de destruction
massive de la pensée.
On peut croire que cela marche aux vues
de certains commentaires qui défendent ce film sans en connaître et
analyser sa véritable utilité et finalité.
Ne jamais oublier la phrase de Jack
Joseph Valenti (1921-2007), conseiller politique de Lyndon
Johnson, puis président de la Motion Picture Association of America
(MPAA), de 1966 à 2004. En un mot le Guru d’Hollywood. Ce personnage
a dit une phrase qui résume à elle toute seule, toute la connivence
du politique et de l’amusement -l’Entertainment- comme gestion de
masse aux USA. Je cite : « Washington et Hollywood
ont le même ADN. »
Je rappellerai que dans la préface du
livre de Mr Brzezinskin « Le grand échiquier,
l’Amérique et le reste du monde », il y est dit : « Aucun
autre Etat ne pourra au cours des trente prochaines années disputer
aux Etats – Unis la suprématie dans les quatre dimensions de la
puissance : militaire, économique, technologique et
culturelle. ». Mettre la culture au même niveau que le
militaire et l’économique -que nous savons assez agressifs chez les
Yankees,- paraît très claire sur sa véritable utilité.
Pour n’importe quel faucon du
gouvernement Us, et magnat hollywoodien, ce film est d’abord un outil
avant d’être de l’art. Mais tout cela est dit dans de nombreux
ouvrages. Cherchez et vous trouverez, vous verrez c’est édifiant... Sur le sujet je vous suggère :
Mise à part quelques considérations sur les qualités
artistiques de Mr Dujardin, il serait très intéressant de réécouter l’interview
de Mme Michèle Halberstadt dans
l’émission « Comme on nous parle », de Pascale Clarke sur France Inter.
Voici déjà ce que l’on peut lire sur la page de l’émission
de Clarke : « L’invitée de Pascale Clark dans "5 minutes
avec", est aujourd’hui Michèle Halberstadt, productrice et distributrice
de cinéma chez ARP Sélection. Elle revient bien entendu sur la bonne forme
actuelle du cinéma français et sur la pluie de récompenses pour le film "The
artist" avec la nuit dernière 5 Oscars. »
Bien, que nous dit cette dame ?
Michèle Halberstadt :
C’est un film français produit aux Etat - Unis, avec pas forcément de l’aide de
l’Etat Français […].
Pascale Clarke : C’était malin aussi de la part du
réalisateur, Michel Hazanavicius de faire un
film « hommage à Hollywood », tourné à Los Angeles ? Est-ce-que
c’était un petit peu fait pour les Oscars finalement ? Est ce- que c’était préméditer ?
M. H : […] Objectivement
quand vous regardé le film a plat, il a fait son Michael Jackson. […], il s’est
blanchi, il s’est transformé, il s’est fait américain […], il a fait un film
américain, ou il dit au américains, vous avez inventé le cinéma, le cinéma ne
se remettra pas de ce rêve, Hollywood est ce qu’il y avait de plus beau […].
Donc, il leur a fait un film pour eux sur mesure pour eux, […] le constat,
c’est qu’il n’y a pas un mot de français, […], ce n’est pas un film Français.
P. C : C’est
un faux film Français.
[…]
M. H : Il est allé chatouiller les américains
sur ce qu’ils ont fait eux, c’est-à-dire le cinéma muet.
Puis un petit discours sur Harvey Weinstein, un magnat
d’Hollywood.
M. H :
Chaque année il choisit un film et il y passe 6 mois, 8 mois.
P. C : Avec
parfois des méthodes quelque peu décriés non ?
M. H : Oui bien-sûr, c’est du lobbying.
[..]
P. C : Et il
a réussi à faire passer the artist comme un
film apatride, c’est aussi ça le coup de génie…sans nationalité.
M. H : Mais
quand vous le voyez, il n’a pas de nationalité. Pour nous il est français parce
que nous connaissons Jean Dujardin et Bérénice Bejo, les américains ne les ont jamais vus, pour eux c’est un film totalement
américain. Pourquoi pas ? Vous savez l’Amérique c’est quand même fait
de toutes les nationalités, c’est le pays où vous pouvez venir d’où que vous
voulez du moment que vous parlez l’anglais.
P. C : 5
Oscars pour The artist, comment ce palmarès historique peut-il booster le
cinéma français ? ca va se passer comment les répercussions, est ce que
l’on sait ?
M. H : Non,
[…], le cinéma français se porte très bien.
P. C : Alors
effectivement le cinéma français se porte bien, on l’a vu au César.
Conclusion :
Intéressant, cette subtile ambiguïté : un film tourné par une équipe
française, qui loue et se fait la porte parole du mythe et rêve
américain, et Hollywood qui de son côté, fait de l’argent de façon
réaliste sur l’infantilisation des esprits.
Alors comme ça, The
artist illustrerait le dernier symbole de la mondialisation : un film apatride,
sans nationalité, applaudit par la critique française. Très très fort !
« La
présente fenêtre d’opportunité, durant laquelle un ordre mondial
pacifique et interdépendant peut-être construit, ne sera pas
ouverte pour très longtemps. Nous sommes à l’orée d’une
transformation globale.Tout
ce dont nous avons besoin est une crise majeure appropriée, et les
nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial. »
David Rockefeller, 23 septembre 1994.
"Je définirais la mondialisation comme la
liberté pour mon groupe d’investir où il veut, le temps qu’il
veut, pour produire ce qu’il veut, en s’approvisionnant où il
veut, et en ayant à supporter le moins de contraintes possibles en
matière de droit du travail de conventions sociales."
Percy Barnevik, prince d’un empire intercontinental
de la métallurgie (1995).
Et voilà pour la finalisation :
« Dès que possible, nous devons arriver à élaborer un
gouvernement mondial et une religion
mondiale, dirigés par un leader mondial ».
Robert Muller (1923-2010). Ancien assistant au
secrétaire général de l’ONU.
Que ceux qui désirent me caricaturer comme complotiste, s’ en
abstiennent. Ensuite je leur conseille de lire les ouvrages des
faucons de Washington, et de faire le parallèle avec ce
que nous vivons au jour le jour en Europe.
Et comme on ne le répètera jamais assez, je rapelle certains
fondamentaux : « Propaganda » de Edward Bernays,
« La stratégie du choc » de Naomi Klein et "La
véritable histoire des Bilderbergers" de Daniel Estulin.