Et puis je vous rappelle que ma réaction était qu’un psychotique ne choisit pas d’être malade... sans excuser ses crimes, on peut quand-même essayer de l’aider, non ? sans compter que si ça l’aide à lui, ça aidera la société, car ça l’empêchera de récidiver. Mais bon, le débat ne porte pas forcément sur les psychotiques.
"Ces 2 messieurs pour moi doivent passer le restant de leurs jours, enfermés, sans aucune possibilité de sortir de prison ou d’un hôpital psychiatrique. La question ne se pose même pas."
Belle société que celle qui ne se pose pas de questions............ !
"...beaucoup ne sont ne sont pas soignables, ils sont du type "Heaulmes ou Fourniret et vous le savez très bien."
Ah non, je n’en sais rien... enfin, c’est sûr que si on ne se penche même pas sur la question, on ne risque pas de résoudre le problème.
Ce qui me met hors de moi, c’est qu’on ne veuille même se donner la peine de réfléchir plus loin que sa peur.
"Il avait le choix : commettre le monstrueux ou ne pas le commettre"
Mais !!
Comment peux-t-on dire de telles bêtises ?!!!!!
Pensez-vous sérieusement qu’un psychotique, par exemple, puisque vous parlez de comporment maladif, choisit d’être malade, et choisit de commettre un crime ?!!!!!!!