Arrêtons
toutefois
de dire que Cohn-Bendit
a
toujours tort. De fait, pourquoi
le
peuple
saurait
toujours
discerner le Vrai, le Bien et
le Beau
? Ayant
courageusement
enfoncé
cette
porte largement ouverte, ce
démophobe
a
surtout
rappelé
que les peuples sont tenus de filer doux sous
les injonctions de l’oligarchie.
Les
têtes au bout des piques, on ne doit effectivement pas souhaiter le
retour de mœurs aussi sanguinaires. Qu’ils dégagent !