@suispersonne Permettez-moi une remarque un peu condescendante mais sincère. La maîtrise dont vous faites preuve dans cette réponse à ce commentaire provocateur de Corcovado la rend beaucoup plus convaincante. Bravo !
@SilentArrow A ma décharge, je ne suis pas pour écraser la Russie, la Chine, l’Iran et tant d’autres pays qui ne veulent pas se soumettre à l’Occident. De toutes façons c pas possible. Suis-je de gauche, de droite, du centre ?
@SilentArrow J’ai glissé vers la droite sur les sujets de sécurité, mais pour je reste contre le capitalisme, contre le consumérisme, pour réduire les inégalités sociales, pour maintenir les services publics, pour taxer plus les plus riches... Je suis un mauvais vin ?
Intéressant, merci. L’article illustre bien les problèmes de cohabitation(censures dans cet exemple) entre les scientifiques et les politiques(ici les progressistes).
A propos du mot “race”, ils admettent que nous devrions l’éviter et lui préférer “ethnicity” (groupe ethnique en Français il me semble).
Personnage intéressant ce Jerry Coyne, c’est un déterministe dur, ce qui le mène à certains raisonnements avec lesquels ni vous ni moi sommes d’accord, je crois. Par exemple :
Coyne is a hard determinist.[10] He came to believe in the idea of determinism after reading a paper by Anthony Cashmore on determinism and the criminal justice system. He states that recognising there is no free will makes one more empathetic and less judgmental : « A lot of politics—particularly Republican politics—is based on the supposition that people are responsible for their own lives. So, for example, people who are on welfare, or homeless people, are treated as if they could have done otherwise. They could have gotten a job, they could have gotten married and had a father for their kids. But they couldn’t, because they’re victims of circumstance. »[12]
@Et hop ! @chat maigre Aujourd’hui, l’idée que les races biologiques n’existent pas et que la race est avant tout une construction sociale est celle qui est la plus communément acceptée, tant dans les milieux académiques que scientifiques. Cependant, croire que supprimer le mot race peut supprimer le racisme est illusoire. Finalement, qu’on utilise ou pas ce mot pour subdiviser les humains n’est pas si important. Ce qui l’est plus en revanche, est de savoir s’il faut établir une hiérarchie entre ces subdivisions.