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Iris

Iris

Terrienne, avant toute autre considération, occidentale, dans un pays vert où l’eau abonde, où les nourritures terrestres sont presque à portée de main, mais ce n’est pas le Paradis ... puisque nous sommes sur Terre !                                                                 

photo : Evan Leeson on Flickr

Tableau de bord

  • Premier article le 05/07/2007
  • Modérateur depuis le 11/01/2008
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Derniers commentaires



  • Iris Iris 7 juillet 2007 00:04

    Je suis également toute oreille ouverte ! smiley



  • Iris Iris 7 juillet 2007 00:03

    Géraldine, comment avez-vous deviné ? smiley



  • Iris Iris 6 juillet 2007 19:16

    Merci pour vos commentaires, surtout les commentaires sympas et constructifs. Mais, je vois que ça chauffe les esprits chez certains, si ça vous soulage ! Et qui sait, la construction se fait ainsi quand même dans l’ombre ...

    Alors pour rappel, voici le poème d’Arthur Rimbaud d’où est sorti « l’horreur économique » de Viviane Forester :

    Soir Historique

    "En quelque soir, par exemple, que se trouve le touriste naïf, retiré de nos horreurs économiques, la main d’un maître anime le clavecin des prés ; on joue aux cartes au fond de l’étang, miroir évocateur des reines et des mignonnes ; on a les saintes, les voiles, et les fils d’harmonie, et les chromatismes légendaires, sur le couchant. Il frissonne au passage des chasses et des hordes. La comédie goutte sur les tréteaux de gazon. Et l’embarras des pauvres et des faibles sur ces plans stupides ! A sa vision esclave, l’Allemagne s’échafaude vers des lunes ; les déserts tartares s’éclairent ; les révoltes anciennes grouillent dans le centre du Céleste Empire ; par les escaliers et les fauteuils de rocs, un petit monde blême et plat, Afrique et Occident, va s’édifier. Puis un ballet de mers et de nuits connues, une chimie sans valeur, et des mélodies impossibles. La même magie bourgeoise à tous les points où la malle nous déposera ! Le plus élémentaire physicien sent qu’il n’est plus possible de se soumettre à cette atmosphère personnelle, brume de remords physiques, dont la constatation est déjà une affliction. Non ! Le sommet de l’étuve, des mers enlevées, des embrasements souterrains, de la planète emportée, et des exterminations conséquentes, certitudes si peu malignement indiquées dans la Bible et par les Nornes et qu’il sera donné à l’être sérieux de surveiller. - Cependant ce ne sera point un effet de légende !"

    tiré des Illuminations : http://hypo.ge-dip.etat-ge.ch/athena/rimbaud/rimb_ill.html

    Merci d’avoir rappelé cela, ce poème est bien étrange et est à relire plusieurs fois. Intéressant, vraiment !



  • Iris Iris 5 juillet 2007 18:47

    « Non, ce dont François me parlait déjà, là, d’entrée, c’est d’une crise globale et massive qui atteint de plein fouet tous les ’acteurs’ du ’système’ (quel vocabulaire de merde...) : parents, élèves et profs. »

    Serait-ce qu’on n’apprend plus à aimer et/ou qu’on ne prenne plus le temps d’aimer ?



  • Iris Iris 5 juillet 2007 18:45

    « Non, ce dont François me parlait déjà, là, d’entrée, c’est d’une crise globale et massive qui atteint de plein fouet tous les ’acteurs’ du ’système’ (quel vocabulaire de merde...) : parents, élèves et profs. »

    Serait-ce que l’on n’apprend plus à aimer et/ou qu’on ne prenne plus le temps d’aimer ?

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