Mais que ces échanges sont bons ! J’ai pensé à certaines grandes écoles qui actuellement refusent l’intégration de certains étudiants « autres », aux stages en entreprises « à distance », .......loin des réalités , de la finalité, du but, les conditions de vie et travail de chacun. De nos politiques tellement déconnectés de notre quotidien, « la vraie vie » cette expression me tue maintenant, comme le mot solidarité, car galvaudé (s), vide de sens et surtout d’action pour beaucoup. A bientôt....
Voilà la raison de mon article. Facile pour moi, d’être le témoin à distance de ce travail, 3 jours rien, même en situation précaire. Car j’ai, l’espoir....de trouver autre chose.
Il était question de relater factuellement, des faits dont je fus le témoin, mon admiration, car je serais incapable de tenir « à vie » ce genre de job et puis à une époque ou certain d’entre nous pleure la bouche pleine de dire : attention, ouvrez les yeux, il y a des silencieux dans divers domaines qui par absence de mots, absence de droits, etc, n’ont pas d’autre solution pour diverses raisons, que je n’ai pas le droit de juger. Que nous sommes tous les maillons d’une chaîne et que l’apport quotidien aussi discret soit-il est utile à toutes et tous. Inutile de vous dire que déjà pas convaincue par la salade en sachet, depuis nous sommes distantes..... Bonne journée !
Il n’est pas dommage qu’il soit trop court, je n’avais rien d’autre à ajouté.
Un simple témoignage, à 48 ans , d’une femme qui découvre après un parcours brillant, une nouvelle réalité. Sans partir aux Antilles, je pense (pourquoi ?) en cet instant à toutes ces femmes et hommes, le soir tard ou tôt le matin, qui entretiennent nos bureaux, vident nos poubelles, dans l’anonymat le plus total et souvent le mépris. Bonne soirée. isabelle