>Plus la communauté est vaste, et plus un dénominateur commun est
difficile à trouver : au delà d’une certaine taille, disons à l’échelle
de l’UE, ce dénominateur commun est nul.
En quoi la taille est-elle significativement plus grande que celle des USA ?
> moi qui jongle chaque fin de mois a plus ou moins cent euros pour
boucler mon budget, c’est que tous mes efforts, toute ma motivation a
ameliorer ma vie quotidienne, l’avenir de mes enfants, notre securite,
notre bien-etre, tout vient d’etre une fois de plus balaye d’un revers
de la main par les laquais pour envoyer comme ils disent un "message
fort aux marches« . > je suis convaincu que si changement il doit y avoir, il ne sera declenche que par des facteurs exterieurs a l’humanite.
Et je suis convaincue que s’il doit y avoir changement, cela ne peut venir que de nous :
étendre et même revendre la Télé
changer de banque : soit la NEF soit la Banque Postale, en tous cas aucune des »grandes" banques commerciales. En plus du geste politique cela vous fera économiser des frais de gestion de compte. Déjà ça de gagné !
ne plus aller dans les grandes surfaces : perte de temps, d’argent et geste politique. Cela ne nuira pas à l’emploi, vu que ces négriers méprisent leurs travailleurs et leurs fournisseurs.
retirer ses billes du secteur financier : acheter de l’immobilier ou de l’or physique ou une autre matière.
payer en liquide un maximum (éviter d’être tracé par sa banque) et si possible au noir, notamment les petits fournisseurs locaux.
travailler au noir, faire travailler au noir
et ainsi de suite ... merci de compléter la liste !
Pour trouver de l’argent, il arrive un moment où tripoter ne suffit plus. j’aimerais que Monsieur le Surintendant m’explique comment on s’y prend pour dépenser encore quand on est déjà endetté jusqu’au cou…
Mazarin : Quand on est un simple mortel, bien sûr, et qu’on est couvert de dettes, on va en prison. Mais l’Etat…, lui, c’est différent. On ne peut pas jeter l’Etat en prison. Alors, il continue, il creuse la dette ! Tous les Etats font ça.
Colbert : Ah oui ? Vous croyez ? Cependant, il nous faut de l’argent. Et comment en trouver quand on a déjà créé tous les impôts imaginables ?
Mazarin : On en crée d’autres.
Colbert : Nous ne pouvons pas taxer les pauvres plus qu’ils ne le sont déjà.
Mazarin : Oui, c’est impossible.
Colbert : Alors, les riches ?
Mazarin : Les riches, non plus. Ils ne dépenseraient plus. Un riche qui dépense fait vivre des centaines de pauvres
Colbert : Alors, comment fait-on ?
Mazarin : Colbert, tu raisonnes comme un fromage (comme un pot de chambre sous le derrière d’un malade) ! il y a quantité de gens qui sont entre les deux, ni pauvres, ni riches… Des Français qui travaillent, rêvant d’être riches et redoutant d’être pauvres ! c’est ceux-là que nous devons taxer, encore plus, toujours plus ! Ceux là ! Plus tu leur prends, plus ils travaillent pour compenser… c’est un réservoir inépuisable.
Extrait du « Diable Rouge » C’était il y a 4 siècles !...
>vous avez une agricultrice digne qui vient de se convertir au Bio, Myriam Boyer,
qui a compris le piège de ce système
Crédits-PAC-Engrais-Pesticides-Dettes-Marché.
>Elle utilise Facebook
pour faire connaître sa nouvelle orientation
Peut être mais moi pas ! Et c’est pas demain que j’utiliserai Fessebouc ! Alors tant pis pour moi, je ne verrai pas son message.