le mot « islam » a plusieurs significations. Le contexte phraséologique détermine le sens. Par exemple, dans le verset cité par l’auteur (II,133) : « Certes, Allah vous a choisi la RELIGION ; ne mourrez point donc, autrement qu’en MUSULMANS. »
Tout ce que je viens de lire est pertinent, mais cela ne résout pas le problème : l’arme utilisée actuellement par les terroristes est indétectable !!!!
@eric On ne peut nier que votre analyse est très cohérente. Reste à savoir qu’on ne peut détacher certains éléments de leur contexte. Y aura-t-il un vote sanction contre Fillon ou non pour l’affaire des emplois fictifs ? Macron arrivera-t-il à faire prendre aux Français des vessies pour des lanternes et leur faire croire que lui, Valls et tous ceux qui l’ont suivi n’ont rien à voir avec l’échec du quinquennat Hollande ?
A ne pas contrecarrer la montée des extrêmes-droites un peu partout en Europe avec comme premier objectif l’éradication de l’islamisme, Le Pen n’a-t-elle vraiment aucune chance avec tous les problèmes que connaît la France ? Le bon sens veut a priori que la réponse à ces questions soit éliminatoire. Compte tenu de cela et puisque les programmes des candidats c’est de la simple « copie sur le voisin », l’élection, de présidentielle deviendra providentielle, c’est du moins ce qu’annonce la montée de Mélenchon dans les sondages.
Mélenchon reste le dernier recours, très probablement vu l’éventail de choix très restreint qui reste : soit l’extrême-droite, soit un candidat LR à qui il est vraiment difficile de faire confiance, soit la « nouvelle gauche » ou gauche décentrée qui il n’y a pas longtemps brandissait le 49-3, soit enfin ce qui reste de la gauche puisque les nombreux retournements de veste l’ont vidée de ses grands principes idéologiques. La situation est telle que les frontières principielles s’effondrent et que l’on ne peut même plus parler de programmes politiques.
Quand je dis Mélenchon, cela signifie que l’élection présidentielle de 2017, est une présidentielle d’homme politique.