Le Ps est sans doute le seul parti au
monde - en dehors du parti d’en rire - dans lequel des membres ont le
culot, le masochisme, le ridicule, de baver sur leur parti à
longueur d’année, sans s’interroger sur leur propre contribution à
sa mauvaise image, et sans qu’il leur en soit tenu rigueur. Leurs
manifestations de traitrise ont bien entendu décuplé depuis
le dimanche des européennes : le « parti vermoulu » de Moscovici ! les
interventions des Vals (un vrai spécialiste du dénigrement !),
Collomb, Montebourg, Delanoe, Lang...
Tant que ces traîtres seront impunis,
ils continueront leur basses besognes devant des micros complaisants,
et le Ps, en effet, « touchera le fond ».
Merci de signaler cet article fort utile de Franck Lepage qui donne à réfléchir à ce qu’aurait pu et dû être le ministère de la culture. L’origine de la nomination d’André Malraux est bien rappelée : " Parvenu au pouvoir, le général de Gaulle veut récompenser la fidélité d’André Malraux, ministre de l’information sous la IVe République et
directeur de la propagande du Rassemblement du peuple français (RPF),
fondé par le général en avril 1947. " Parvenu au pouvoir, Jacques Chirac a récompensé la fidélité
d’André Malraux au gaullisme en le plaçant au Panthéon, dont la devise, en la circonstance et en bien d’autres, était : « Aux Grands Hommes le Parti reconnaissant ».
Anti Malraux ? Vous plaisantez ! Malraux a été un people comme Frédo et a eu des prestations médiatiques comme l’autre n’en aura peut-être jamais - avec Jackie Kennedy par exemple. Ses prêts de la Joconde et de la Vénus de Milo aux Etats-Unis et au Japon n’avaient pas d’autre objet. Quant à la citation du Grand Homme, il faut citer J.F. Revel (Contrecensures) : « Ah ! Malraux ! De combien de phrases stupides et creuses vous êtes responsable - sans oublier celles ont vous êtes l’auteur. »