Les coronavirus le craignent : l’argent colloïdal, un remède très ancien donc « de bonne femme » et ben sûr non remboursé.
Il peut se rapprocher de l’action d’un antibiotique à large spectre. Sa présence initie une enzyme, laquelle agit localement envers chaque bactérie, chaque unicellulaire, chaque champignon et chaque virus par modification de leur équilibre acido-basique, et y installe une « résistance externe ».
Ainsi, ces organismes deviennent inactivés dans un temps de contact d’environ 6 minutes, parfois moins. Ils régressent dans leur cyclogénie, puis meurent. Les microbes polymorphes, ainsi que les mutants, sont également sensibles à ce colloïde.
La majorité des antibiotiques, sur prescription médicale, ne tuent qu’une partie des agents causant des maladies, alors que l’argent colloïdal est efficace contre environ 650 pathogènes (travaux du Dr Henri Crooks).