On en revient au point de départ : le problème est-il Reynolds qui met en lumière la personnalité du pasteur d’Obama, ou bien les relations entre ce pasteur raciste et Obama ?
Si vous tenez a faire une comparaison avec le pen, alors demandez vous si vous denonceriez la personne qui honteusement ramenerait sur le tapis une amitié de 20 ans entre le pen et sarkozy (hypothèse d’école), ou cette amitié elle meme.
Vous vous en prenez a celui qui sonne le tocsin —meme si vous n’avez pas tort de dire qu’il le fait avec plaisir et non sans arriere pensée— et vous en oubliez l’incendie qui est pourtant bien plus important.
Ceci démontre que vous etes complètement partisan et vous en avez le droit. Mais ne pretendez pas défendre la morale.
Merci de cet échange et a une autre fois sur un autre sujet peut etre.
La comparaison avec l’instrumentalisation de le pen par le PS est particulierement mauvaise. Ni la droite ni la gauche n’ont eu le pen pour guide spirituel pendant 20 ans. Quant à Obama, il serait plus juste de se demander à son égard si sa prise de distance avec ce reverend admirateur de farrakhan, ne serait pas seulement dictée par les circonstances. Un président américain qui reprendrait a son compte ’que dieu maudisse l’amérique’ ferait surement plaisir à la France anti-américaine primaire, mais probablement pas aux américains qui ont le mauvais gout de ne pas avoir celui des français.
Quelle belle moralité ! ce qui choque la morale a 4 sous de l’auteur, ce ne sont pas les propos de ce raciste noir qui maudit l’amérique et dont Obama est un fan. Ce qui le choque, c’est l’étalage sur la place publique des propos du révérend, et leur pouvoir de nuisance sur la campagne d’Obama, la blanche colombe de la bien-pensance franchouillarde. A part ça, il n’y aurait rien à redire, circulez y’a rien a voir. Et l’auteur prétend donner des leçons de morale à Reynolds ? Mais je préfère 100 fois le comportement de Reynolds qui, meme par interets supposés, nous montre de qui s’inspire Obama, plutot que celui de l’auteur qui se scandalise comme une pucelle parce qu’on dévoile la vérité qu’il nous aurait volontiers cachée pour les besoins de la bonne cause.
Quel dommage ! Sans les combines des américains, les arabes auraient dit 3 fois OUI a khartoum et la paix régnerait aujourd’hui dans la région. Mais c’était oublier la volonté cachée américaine de conquerir les puits de petrole arabes ; c’était oublier leur volonté de soutenir leur industrie de l’armement en déclenchant des guerres ou en les entretenant dans toutes les parties du monde. C’était aussi oublier la soif de conquete et la volonté expansionniste des sionistes qui, ne l’oublions pas, ont deja conquis 20 000 km2 en 3500 ans, et qui, a ce rythme, auront conquis la moitié du monde arabe en à peine 1.225.000 années. Le danger est donc bien réel et imminent, et l’auteur fait bien de nous admnistrer cette piqure de rappel car le temps pas si vite...
Avant 1947, le terme ’palestinien’ désignait les habitants juifs et arabes de palestine. Aussi, écrire que les palestiniens pourraient très bien descendre des Hébreux est vraie pour une bonne part, la part juive.