"L’art c’est snob".....connu....mieux... le snobisme c’est de l’art... mais à la condition qu’il soit un regard sur le snobisme... l’art ne doit il pas avoir une porté universelle...un lapin gonflable dans la galerie des glaces en a t’il ? autant que peut en avoir un bermuda et une paire de basket pour un costume cravatte du ministére de la culture......en tout cas Ségo à Bercy en assumant sous les projecteurs son rôle de cible à marqué un point. le vieux parti est resté là faire son vieux garçon jospiniste les copains dabord et qui n’a rien compris a la leçon de sarkosy, faute de participation active à la dernière campagne présidentielle...preferre ses équilibres... les militants choisirons le mauvais cheval, ,un candidat naturalisé a souhait, pas l’artifice....Oh que non ! ... et faute de grive.. mais les nostalgies ne font jamais des présidents, les électeurs de Mitterrand ou de Sarko étaient tout sauf des nostalgiques. Je ne crois absolument pas au retour de Jospin ni de sa bande
Debout les damnés de la terre
Debout les forçats de la faim
La raison tonne en son cratère
C’est l’éruption de la fin.
Du passé faisons table rase
Foule, esclaves, debout, debout
La monde va changer de base
Nous ne sommes rien, soyons tout ! ......... Les crise remettent tout a plat et les individus et les hierarchie . Encore faudrait ’il que les banquiers ruinés se défenestrent comme en 1929 ?, mais il n’en est rien et l’international ne sera pas le genre humain cette fois ci elle sera le parachute des banquiers mais l’international n’est ’elle pas devenu une réalité a certain égard ?
faut ’il admettre le primat de l’économie sur le politique ? les privatisations ont été pratiqué par l’ensemble de la classe politique ; parti politique et organismes internationaux confondu , FMI etc... et ce a la suite de l’effondrement de l’économie de l’ex bloc soviétique et de celle des économie socialistes incapables d’assurer le développement des pays pauvres.. Cette option peut simplement s’expliquer par l’absence manifeste d’une alternative économique fiable. ll peut aussi s’expliquer par le proximité social des dirigeants politique toutes tendances confondus avec la crème des dirigeants économiques issu pour la plupart du même sérail. Il semble que cette mode de la privatisation comme panacée connaisse actuellement ses limites. Si les USA sont coutumier d’une intervention de l’état fédéral dans ce genre de crise il semble qu’en France pays politique par excellence nous portions le débat sur un plan idéologique. N’est ce pas un rituel ; le politique ne doit ’il pas chez nous absolument primer sur l’économique, la main d’un état rationnel sur la main de dieu ? ou est ce que les politiques se sont tout simplement soumis a des impératifs qui les dépassent et dépassent le cadre étroit de leur compétence et de leur conventions simplistes ? les politiques ne seraient t’ils pas fond des fashion victims d’une modalité qu’ils ne soupçonnent même pas tant elle nous est encore inouïs
il s’agit pour le pragmatisme américain non pas de sauver "des banquier qui s’en tireront au frais de la princesse" c’est anecdotique, mais de sauver la banque, pas de banque pas de circulation des capitaux
à quand les conséquences de cette crise financière dans l’économie réelle ? Sans parler de la fréquentation des restaurants, faudra t ’il différer l’achat d’un nouvel aspirateur ?... Nous sommes suspendu à la décision du congrès état uniens...Bush ordure !