@Bernard Grua Vous avez parfaitement raison, la question linguistique n’est pas un facteur de crispation en Suisse où chacun respecte la langue de l’autre et s’adapte. Le français est très peu pratiqué dans le vaste canton des Grisons où l’allemand, l’italien et le romanche sont les trois langues officielles. La répartition linguistique de ce canton se décline selon les vallées. Vu de France, cela peut surprendre, mais il ne faut perdre de vue que la Suisse est un état fédéral qui compte quatre langues nationales (allemand, français, italien et romanche). Les cantons sont souverains pour les appliquer. L’instruction publique est de la compétence des cantons.
Connaissant bien le trajet ferroviaire que vous décrivez pour me rendre à Zernez, en Basse Engadine, au pied du Parc National, afin d’y pratiquer le ski de fond. Je vous félicite pour votre reportage très fidèle à la réalité.
J’attends avec impatience le deuxième épisode de votre voyage, de Tirano à Viège en empruntant le Glacier Express par la Col de l’Oberalp, Andermatt et le tunnel de la Furka.
" Il n’y a pas de MATRICE, pas de plan (sinon une vision « tarte à la crème »)
«
Certes, mais cette matrice dont vous parlez, ce ne peut être que la Constitution elle-même. Il apparaît toutefois clairement que la Constitution actuelle de la Vème République est totalement inadaptée à cette notion de R.I.C.
Pour changer les choses je ne vois que l’élection d’une assemblée constituante chargée de rédiger une nouvelle Constitution. Or cette prérogative appartient au Président de la République. Reste à définir le mode d’élection de ce cette assemblée constituante ...
Pas de »tarte à la crème", mais beaucoup de pain sur la planche ...