Jean Keim

@colibri

<< toujours ce leitmotov du partage sans condition :>>

Pourquoi partage sans conditions ? ? ?

Dans une relation individu/société, il y a d’abord des devoirs et par conséquent des droits, pour le reste ben c’est vous qui voyez.

Une dernière chose, si l’immigration n’était pas une source de profit, elle n’existerait pas.

@Jules Seyes

Pour le moment c’est l’égoïsme et donc l’absence d’empathie qui caractérise la frange dominante de notre espèce (et pas que la frange).

Collaboration, entraide et partage (CEP) serait une voie évolutive des plus intéressante, seulement la majorité des gens n’imagine pas un monde futur autrement que dans la continuité de celui existant actuellement, un monde où tout se monnaye, où tout a ou devra à terme avoir un prix.

Curieux quand même que des dieux si puissants créent une race d’esclaves pour faire le sale boulot, mais qu’ils n’aient pas eu l’idée de créer des machines à la place... à moins de considérer que les esclaves n’étaient finalement au départ que des machines plus simple à (re)produire.

De toute façon les histoires sumériennes elles aussi ont une origine, et donc vraisemblablement ont été empruntées à d’autres sources encore plus anciennes...

Comparativement, la pauvreté n’a de sens que s’il y a des riches.

Dans chaque pays où existe une pauvreté, c’est-à-dire quasiment tous, France y comprise, la pauvreté ne découle-t-elle d’un manque de partage ?

Par exemple dans quelles poches la manne pétrolière algérienne aboutit-elle ?

L’immigration prive les pays d’origine des migrants d’une partie de leurs forces vives.

Détricoter le vrai du faux ne peut pas se faire en faisant appel uniquement à nos savoirs ou à ceux des autres.

Montons d’un cran jusqu’à la ligne d’horizon et prenons conscience que nous ne pouvons exprimer que ce que nous savons, autrement dit ce qui est mémorisé, ce qui pourrait nous empêcher de faire des choix disons idéologiques.

À une question posée simplement il y a non pas deux mais trois bonnes réponses possibles : oui, non et la plus honnête réponse, je ne sais pas.

Une idéologie est un système d’idées, de croyances, de doctrines...

L’idéologie X est-elle meilleures ou pire que l’idéologie Y ? Dans cette façon de procéder on passe à côté du point crucial : pourquoi devrions-nous avoir à choisir entre X et Y, toute idée, même bonne, organisée en système devient inévitablement mauvaise, l’Histoire nous le prouve sans ambages, alors faut-il en choisir une ou toutes les rejeter ?