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JEAN LE PEREGRIN

JEAN LE PEREGRIN

Ma profession : ouvrier.
Je me reconnais en ce que disait R. Sabatini de A. Moreau : "Il était né avec le goût du rire et le sentiment que le monde était fou".
 
Je contribue également au blog "Vents Debouts !" http://chroniq.canalblog.com/

Tableau de bord

  • Premier article le 25/06/2011
  • Modérateur depuis le 20/07/2011
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Derniers commentaires



  • JEAN LE PEREGRIN JEAN LE PEREGRIN 23 décembre 2011 16:55

    Encore une loi inepte ! Et toute la classe politique est responsable. Comme pour la loi sur l’’« abolition » de la prostitution , Gauche et Droite votent de concert des lois qui pour être politiquement correctes générent plus de problémes qu’elles n’en résolvent.

    Et l’espéce d’absolution accordée par certains aux Historiens n’a pas plus lieu d’être car ils sont bien souvent porteurs de ces « Vérités ». Voir pour s’en convaincre ce blog «  cvuh.blogspot.com/ ».La suffisance et la prétention de nos historiens , prompts à valider n’importe quelle vérité politiquement correcte du moment (avec des postures de Savonaroles de bastringue) , doit nous amener à une certaine prudence. 
    Que les historiens travaillent sérieusement leurs dossiers et leurs domaines. Nous ne leur demandons pas d’ériger de nouvelles Vaches Sacrées, mais d’établir véracité des faits et hypothéses fiables (« hypothéses », pas « révélations divines »).
    Que les politiques s’occupent de politique : économique, sociale....Y a de quoi faire : 5 millions de chômeurs, une économie en ruine, un tissu humain en voie de désagrégation....Ah oui ! là c’est compliqué ...Et risqué ....


  • JEAN LE PEREGRIN JEAN LE PEREGRIN 21 décembre 2011 13:07

    Taux de suicide à rapprocher de la consommation en France des anti dépresseurs et autres drogues, douces ou non, légales ou non. Et aussi des taux d’avortement,qui sont un indicateur de l’optimisme, ou du pessimisme ambiant, dans un temps où la pilule et le préservatif sont courants.

    L’analyse de l’auteur quant aux causes de ces suicides me semble occulter quelques faits.
    1- Une part importante de ce suicides concerne des populations qui semblent les mieux intégrées (elles ont un boulot et pas de probléme financier « majeur ») : les paysans, les policiers, les fonctionnaires des Telecoms ou des Eaux et Forêts.....
    2- Pour les jeunes les suicides concernent essentiellement là encore des jeunes apparemment « bien intégrés » avec des familles , pas de soucis d’argent...
    En fait quand on examine bien les chose on s’aperçoit que c’est « vieille France », la « France rance » comme dirait BHL, qui se suicide en masse. Une France prise au collet dans une ére de libéralisme économique et démographique ravageuse. 
    En Amérique, lors de la Conquête Espagnole, la cause principale de mortalité avec les maladies infectieuses ramenées d’Europe, a été le suicide des Indiens , sidérés par une invasion qui impliquait leur anéantissement. 


  • JEAN LE PEREGRIN JEAN LE PEREGRIN 27 août 2011 17:12

    Article agréable à lire.
    Le rôle des managers style Grosman (ou Parker pour Elvis) a en effet été déterminant.
    Logiquement les chansons de Dylan ont été « poussées » par Grosman -voir comment il a créé « Peter Paul and Mary » et leur a fait chanter « Blowing in the wind », qui a lancé Dylan comme auteur.
    De fait Dylan a occupé toute la scéne du Protest Song alors qu’au même moment d’autres figures comme Paxton ou Phil Ochs étaient aussi (voire plus ) légitimes pour l’incarner.
    Suze a eu sans doute un rôle en tant que petite amie , mais y voir plus me semble trés exagéré. Dylan avait une culture assez large et surtout une écoute de tout ce qui se passait autour de lui pour se suffire. Le Folk , et le protest n’ont été pour lui que des outils pour se propulser sur le devant de la scéne. Voir la façon dont il a utilisé (abusé ?) ces pauvres vieux Woody et Pete Seeger , jetés sitôt devenus qu’inutiles (et pesants).

    Malgré toutes ces petitesses le Dylan des années 61/66 reste La figure de la scéne folk:pop mondial. Il a apporté un vernis d’intellectualisme sur la musique populaire du moment.
    Il a rendu possible Jim Morrisson ou Lou Reed, entre autres...
    Pour le reste l’apologie de la drogue(« Every body must get stoned ») ou d’un individualisme maladif (« My back pages ») ressortent plus du consumerisme militant que de la révolte sociale.
    Quant aux chansons phares de la période folk telles que « Hollis Brown », « Davey Moore » ou « Times they are a changing » ,elles restent de beaux objets avec le recul . Mais sans plus de consistance réelle qu’un petit prêche du pasteur baptiste du bled du coin. Et Dieu (!) que pour israelite qu’il soit, Dylan reste d’abord et avant tout un produit (dans tout le sens du terme) américain. Comme le Coca ou le chewing-gum.

    Reste le plaisir réel d’écouter et réecouter « Desolation road » ou « Memphis Bues again » (ses titres les plus sincéres) un soir d’été en fumant sur le bord de la fenêtre...

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