Jean-Max DURAND

Excellent article. Je demanderai toutefois à son auteur : croyez-vous que les institutions politiques ont aujourd’hui le pouvoir d’apporter les réformes indispensables ? Vous qui êtes très engagé dans une famille, pensez-vous que vos pairs - dont la majeure partie cherche, et trouve, son propre intérêt dans un système républicain qui ne représente pas ceux du peuple - vous laisseront changer la donne ? Je ne mets pas en cause le seul Parti Socialiste avec ces questions mais l’ensemble de la classe poltique et, bien au-delà, toutes les institutions, associations, syndicats...qui, sous couverture de démocratie, ne font qu’exploiter la confiance de l’électeur, du cotisant, du donateur... L’heure n’est-elle pas venue pour la mise en place d’une véritable représentation citoyenne, tant au niveau du pouvoir législatif qu’à celui du pouvoir exécutif ?

@asterix
Si Tsipras n’avait pas d’autre solution que le compromis - et qu’il le savait - peut-on en conclure qu’il a dupé ses électeurs ? Que seul le pouvoir personnel l’intéressait et non le mieux-être des Grecs ? Qu’il serait en fait un politicien comme les autres ? J’ai un embryon de réponse que je crains de voir confirmé par l’avenir. 

@Ruut
Non, il ne faut pas un chef d’Etat, mais une démocratie citoyenne qui balaie toutes ces marionnettes inféodées aux Rotschilds et autres Rockfellers, et qui ne représentent rien d’autre que leurs propres intérêts.

D’une certaine manière, la Russie est aujourd’hui « l’amie » des USA. J’entends par là qu’elle est leur prétexte pour faire la guerre, seul recours du géant occidental pour relever son économie. Malgré tout ce que les médias nous racontent, la situation économique et sociale n’est pas des meilleures aux USA. De plus, il faut bien que les élus renvoient l’ascenseur à leurs maîtres grâce à qui ils sont en place et leur fassent gagner de l’argent et du pouvoir : d’abord en vendant des armes, ensuite en mettant la main sur les richesses des pays envahis. Au passage, exterminer des populations qui, elles, n’aspirent qu’à la paix.

L’aide à apporter à l’Afrique est simple : lui restituer le droit d’exploiter seule ses richesses. La libérer de l’invasion des multinationales. Il faudra peut-être former des techniciens et il sera alors de notre devoir, de notre inérêt d’humain (et non de spoliateur), d’apporter notre aide, notre savoir faire.