Un quidam qui est dans le dernier cycle de sa vie sur cette planète Terre. Encore et toujours animé par l'espoir d'une prise en main du destin de cette Terre par chacun des quidams qui la fréquentent et qui vibrent d'amour paisible tout au long de leurs vies.
Lucidité ! Hormis cette qualité que nous reste-t-il à nous, les isolés du troupeau ? Car, devant ces multiples complots des gouvernants, ces pseudo « chefs » et leurs adjoints-manipulateurs nous sommes si impuissants.
Cher Péripate, vous écrivez : « Etait-ce vraiment utile de préciser que vous ne connaissiez rien à l’économie ? C’est il me semble assez visible ».
Je me permets de vous souligner que j’ai écrit : « Mais avant tout, je tiens à préciser que je ne suis nullement un spécialiste des questions économiques »...
" Une bonne révolution intérieure, voilà ce qui est nécessaire. Un bon en avant dans la maturité de l’espèce humaine. On joue pas à « gentil contre méchant », quand bien même un désir
ardent - et compréhensible- de couper des têtes nous anime. Ce genre de
dualisme plombe toute perspective de résolution durable des conflits,
parce qu’il implique un parti vainqueur et un parti lésé nourrissant une
soif de revanche« .
Vous êtes au cœur d’un futur en devenir. Je proposais dans le manifeste : « Une révolution humaniste, responsable et solidaire », je pense bien que nous nous rejoignons dans les chemins de l’espoir.
Cette chronique que j’amorce se veut, dans un premier temps, ouvrir une réflexion qui saurait répondre aux angoisses de ces citoyens, si proches de nous, mais aussi tellement seuls, qui vivent dans une insécurité tellement intime, celle dans laquelle nos système éducatifs les a conditionnés. »Exit la créativité, marchons dans le troupeau« .
Les propositions »techniques" sur la création d’une nouvelle monnaie internationale ne visent que cela.
Un monde de valeurs fondé sur le respect absolu de la vie reste à mettre en place.
En effet, nous avons besoin d’un outil pour effectuer nos échanges économiques. Et toute la question est bien : « avons nous la volonté ? » Mais qui est ce « NOUS » ? Dans nos systèmes politiques actuels, vous n’avez pas pas plus de pouvoir que j’en ai et les rares personnalités politique progressistes ont les mains liés par les oligarques de l’économie. Que NOUS reste-t-il ? Une révolution politique ? Ceux qui prendraient le pouvoir, « genre » Hollande, Obama et autres, disons avec réserve, « progressistes », dans quelque pays que ce soit, seraient rapidement contrôlés. Alors que NOUS reste-t-il ? Une révolution qui détruirait non pas des humains mais un objet : L’ARGENT. Utopie oui un peu ! Et après !
Je ne comprends pas votre commentaire. l’huile c’est un lubrifiant, comme les dividendes, le profit. Sans carburant il ne peut y avoir de propulsion, même les vivants comme nous, pour vivre, pour être animés, avons besoin de carburant, que sont nos calories.