Cela m’indispose de payer la redevance et de subir la publicité sur une chaîne publique.
Surtout que depuis quelques années son ambition semble être de rattraper l’audience de TF1 en appliquant les mêmes recettes.
A mon gout, il y a plus d’écart de qualité entre Arte et France2 qu’entre France 2 et TF1.
Quand à la liberté d’expression ?
Il suffit de voir comment toutes les chaînes publiques ou privées on fait un black-out complet quand on a retrouvé le chef du bureau de cabinet de Christine Albanel mort chez le directeur de TF1 international après une partie fine avec cocktail cocaïne-GHB, pour être sans illusion.
Avez-vous remarqué comme ils se déportent sur la gauche (la droite pour eux, évidemment) pour laisser deux fenêtres allumées bien visibles. Deux yeux dans la nuit symbolisant bien la dérive sécuritaire de notre président.
Et les gardes du corps, on ne me fera jamais croire que c’est par hasard qu’ils se sont disposés pour que les réverbères leur dessinent une auréole pour se faire passer pour des saints.
Quand devant les fenêtres je vois ce monument, placé là comme un symbole phallique, je n’ose l’interpréter sans écorner le respect que l’on doit à un chef d’état.
Merci de m’avoir appris à quitter la secte des naïfs, pour rejoindre celle de l’humour.
Les médias ne parlent pas de ce cas ? Je pense que c’est une bonne chose.
Imaginez les réactions des Français, pour qui la hantise c’est la lettre de licenciement et le chômage.
Leurs fautes ? Travailler dans une entreprise dans un milieu concurrentiel en crise.
Même si une injustice reste une injustice, la révolte d’un professeur contre un recteur sur fond de querelle politique, quand les sanctions encourues sont un "blâme" ou une "mutation" sans perte financiére, il vaut mieux que cela reste un combat interne à l’EN.
Dans les "accidentés" du cerveau, il y a eu un précedent.
En 1848 Phineas Gage en tassant des explosifs a le cerveau traversé par une barre à mine.
Il va vivre encore 12 ans sans alteration de son intelligence mais sa personnalité à complétement changé.