plusieurs hypothèses ont été abordées pour « alleger » le « coût du travail » et rendre nos exportations plus compétitives face à l’ouverture des marchés. Parmi ces hypothèses, taxer la valeur ajoutée (différence entre coûts de production et pris de vente) d’un produit. Lintérêt d’une telle hytpothèse serait de ne plus mettre en concurrence « le travail humain » et « le travail machine ». Ce serait également reduire les marges nettes donc, par conséquent, les bénfices des actionnaires. Ainsi, les entreprises ne pourraient plus « hurler » que le coût du seul travail humain est « cher », même si cette répartition les arrange car leur valeur ajoutée machine n’est pas taxée, ou peu. Cette taxe sur la valeur ajoutée économique remplacerait une partie des coûts du travail humain. La TVA sociale élevée sur les produits de luxe et assimilés me semble une bonne source de revenus pour équilibrer le budget de l’état.
- le non versement des impôts par les sociétés du CAC40, - le bouclier fiscal, - le déficit budgétaire abyssal de 2010, - le cadeau somptieux fait aux télés privés via la pub interdite sue les chaines publiques après 20h, - euh, je reviens
si j’ai bien compris, voici le scénario : moi, Etat soumis aux puissances financières, ne peut emprunter qu’auprès des banques. Ainsi, dans l’exemple, la Banque centrale Américaine fabrique 800 MDS de dollars, en confie la gestion à la Goldman Sachs qui spécule en créant des bulles spéculatives, ramasse ses billes et distribut les créances douteuses aux banques qui rachètent les créances douteuses. En plus de cela, nos Etats s’endettent démesurément avec la bénédiction de nos gouvernants et ce depuis une quarantaine d’années, mettant ainsi les états en faillite. La BCE, dirigée par un ancien vice président de la Goldman Sachs, gestionnaire de faillite, dégage 500 MDS d’Euros pour financer les banques qui rachèteront des créances douteuses sorties de la Goldman Sachs !
Eh ! pas mal leur truc !
Nos grands blocs économiques (E.U. Europe) se pête la bourre de celui qui sera le plus endétté, jouant ainsi sur les dettes souveraines, sur le triple A, sur la créance la plus rentable et comme ça ne va pas assez vite, on renfloue 500 MDS d’Euros pour accélérer la procédure ; Au bout du compte, après faillite totale du système qui va racheter pas cher ?