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  • jeando jeando 7 septembre 2016 16:38

    Dieu Satan, le bien le mal, l’ordre le désordre, la dualité, la symétrie, le sens, la logique, la raison, la morale, la justice, etc.

    J’aurais tendance à plus tendre l’oreille vers des conceptualisations « scientifiques » plutôt qu’« intellectuelles/littéraires », sachant que les plus pionniers et novateurs et possiblement dans le vrai, qui plus est traditionnellement persécutés pour cela, sont du premier groupe.

    Ces observateurs « cartésiens et de première ligne » apparaissent en effet plus aptes à se détacher de leurs conditions, des apparences et des limites (l’étalon pour distinguer les espèces réellement « intelligentes »), pour entrevoir le fond, « résonner » avec l’inaccessible, déceler des « logiques » cadres, extra-humaines.

    Leurs lumières priment par là-même, sur les théories des philosophes et « libres » penseurs, par trop « human centrics », lesquels avaient supplanté les théocrates lesquels avaient remplacé les sorciers.

    Croire au néant (= une infinité de potentialités quantiques), c’est croire tout court comme les autres fervents, avec certes une pointe de logique par l’absurde en plus (rasoir d’Occam hyper radical : je(tu-il) souffre(s), donc ton super héros divin protecteur tout puissant n’existe pas. Onfray est un humain comme les autres : il a eu son lot de coups durs, sa flamme s’étiole et s’éteindra comme tout un chacun, d’autant plus cruel pour un prêcheur hédoniste et un orateur impénitent.

    Pour ma part, ma « croyance » du moment, n’est pas nihiliste, sachant que jusqu’à preuve du contraire, rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.

    Quand on dérape en terrain glissant, quand on se noie dans la complexité, il convient de reprendre appui sur les fondamentaux et la simplicité.

    L’univers, les choses, ont un sens latent, redondant, observable, forcé, des plus accessible et évident : du chaos(/ignorance/hasard/gaspillage) vers l’ordre/l’organisation parfait(e) (/omniscience/sélection/optimisation). Sans cela, il s’effondrera (à nouveau) et recommencera sous une autre formulation explosive qui fabriquera d’autres agents (re)constructeurs évoluant (autres que l’homo sapiens et la table de Mendeleiev qui auront échoué à se sortir de la spirale entropique). Le but : assembler un corpus permanent, total, sans défauts, aux déchets aussitôt recyclés, pour atteindre un niveau de conscience supérieure, logiquement libérée de ses cocons matriciels successifs pour le moins insatisfaisants et peu ragoûtants. Celle-ci (la conscience) ne peut « apparemment » exister, s’exprimer et agir, sans l’ordonnancement et la mise en relation optimisée de quantités d’information pour l’heure fragmentées, hétérogènes et pour le moins antagonistes.

    Notre monde imparfait où tout le monde mange tout le monde, notre écosystème naturellement inhumain, présente toutes les stigmates d’une expérience de chimie ratée, d’un moteur perpétuel cassé, d’un système v 0.9 incomplet, d’un ordinateur buggué qui tenterait de se reconstruire en se rebootant sans cesse, avec l’éternité comme assurance vie, la singularité transcendante en ligne de mire, la variabilité des bios comme redistributeur de cartes (ajustement des lois cadres et des constantes physiques) : « Dieu » est impuissant et jette les dés pour tenter de solutionner en tâtonnant la quadrature du cercle, se reconstruire, se réparer, se modifier et se cristalliser pour atteindre l’(impossible ou fugace) équilibre supérieur, permanent et parfait (perdu à l’origine ?).

    Ses merveilleuses et misérables « créatures » aux sens sous-développés et shootés à la dopamine, ne sont que des « expandables », à l’instar des soleils et des galaxies qui s’effondrent après avoir fait leur job, à savoir fabriquer et cracher les briques élémentaires d’une autre évolution à éclore que la leur. Un de ces produits, l’homme se trouve être le seul assemblage de matière connu à ce jour, capable de transformer ladite matière pour en corriger les bugs, maîtriser les process et en accélérer les mutations. Le cerveau, capable de concevoir les possibles comme l’impossible, est donc la plus grande invention (en cours de développement) de l’Univers-Information qui peut désormais muni de ce support-vecteur, se penser, se contrôler, croître et se modifier lui-même... exponentiellement.

    On en déduira une conception pragmatique du Bien (ce qui participe au développement et à la sublimation de cette conscience) et du mal (ce qui la freine ou la détruit, en allant dans le sens contraire de cette logique évolutive), et le pourquoi du comment le Mal finit toujours pas avoir le dessus (parce que ce n’est définitivement « pas bien », ou consubstantiellement impossible, que de vouloir tuer/éradiquer le mal - c’est pas sa faute au gentil mal sans lendemain -, proclameraient les moralisateurs de la bien-pensance et autres exploiteurs de bisounours).

    Le Graal de Satan, c’est d’avancer et de prospérer sous le masque du bien, de détruire sous couvert de construire, de régresser au prétexte de progrès : l’enfer est pavé... de vraies fausses bonnes intentions de façade (et aussi de pavés sur la voirie = signes de corruption de vos élus (...)).

    Le désespoir du Bien est de devoir accepter le cancer du Mal (létal in fine même à moindre dose, car irrémédiablement parasitaire, viral, corrupteur et destructeur à terme) en son sein : ce mélange des genres, est tout le drame des temps présents.

    Le jour où une structure consciente, un être individuel ou systémique (ce que les êtres individuels sont en vrai : un système hardware périssable, un assemblage en réseau de plusieurs filières bios et demain technos), aura vaincu ce qui le détruit de l’intérieur, l’univers avancera, saura et sera (Uni).

    Un autre principe observable, indéfectible, brutal, est aussi : action-réaction.

    Intangible, intemporel , juste, universel. Mais politiquement très incorrect.

    Autrement dit : pas besoin de tribunal des péchés ni d’enfer pour les rôtir, les principes actifs/entités/enfoirés qui auront de leur vivant, fait le mal et du mal, paieront tôt ou tard, d’une façon ou d’une autre, le contrecoup de leur dévoiement moral, en proportion des conséquences et du préjudice causé aux acteurs du vrai progrès universel (spéciale dédicace aux « élites » parasitaires, perverses, cyniques et inconséquentes).

    L’homme corrompu pardonne, la nature bien ordonnée sanctionne (« L’homme propose et Dieu dispose »).

    L’intégration du sens des choses, la définition du progrès, l’apprentissage du hors soi, la hiérarchie des valeurs, devraient être le premier souci des gens : on en est loin et on s’en éloigne même, alors que ces jalons et repères, n’ont jamais été autant à portée des esprits même les plus faibles.

    Le mal chez les hommes, se repaît d’ignorance, de tromperie, de manipulation inconsciente et d’égoïsme aveugle, vis-à-vis du chemin salutaire à tracer, construire et emprunter (et qui passe nécessairement par l’infiniment grand comme l’infiniment petit).

    Une chance d’y parvenir (à cet état(pe) supérieur(e)) sur des milliards, mais une chance quand même, après des milliards de milliards de cycles et d’essais : l’évolution se code, tâtonne et accélère inexorablement jusqu’au but, sinon « game over/reset/reboot ».





  • jeando jeando 24 août 2016 21:18

    Quantum, information, matière, gravité, science, espace-temps, ..., ne sont pas des concepts tangibles, accessibles, univoques et ... universels tant que ça : peut-être faudrait-il commencer par donner sa définition personnelle des ingrédients de sa recette ou des termes de son discours en préalable à toute démonstration.

    Votre texte provoque chez moi les éléments de réflexion suivante qui est celle d’un béotien pragmatique que j’assume et balance telle quelle, histoire d’alimenter les feux de la passion.

    Dans mon esprit, l’information est une entité mesurable, observable par un observateur qui l’interprète... à sa mesure (i.d. selon ses instruments, plus ou moins accordés, et sa grille de pensée, plus ou moins partagée, d’où les déchaînements de ce forum et du genre humain en général).

    Le drame, la tragédie de fond, c’est que ce faisant, en interagissant avec l’invisible pour le mesurer/l’observer, ... le chercheur perturbe, déforme et masque sa vraie nature profonde.

    C’est un peu comme tâter dans le noir un visage en pâte à modeler (qui plus est mouvant) pour en dresser le portrait-robot...

    La physique quantique pose les limites (et ce faisant démultiplie le champ des possibles) de la connaissance humaine, ordinateur biologique primitif en fin de carrière, limité à 4-6 dimensions tout au plus.

    Je me remémore souvent le schéma du documentaire « Cosmos » de Carl Sagan, expliquant la perception qu’auraient des êtres à 2 dimensions, de phénomènes d’une réalité à 3 dimensions : des apparitions soudaines et fugitives, des « miracles » ou ovni rapportés à nos misérables sens en émoi, ou pas. Les savants 2d auront beau s’enorgueillir de posséder une théorie des segments parfaite, la notion d’arrête de cube (ou de décaèdre ou de tranche d’ellipse ou de s’importe quel objet 3d croisant leur « monde ») leur sera à tout le moins étrangère voire inconcevable...

    Les dimensions supérieures d’une réalité « globale », nous sont donc définitivement inaccessibles en l’état, et par conséquent le terrain devient extrêmement glissant dès lors qu’il s’agit de comprendre, d’interpréter, de démontrer.

    Rasoir d’Occam oblige, tout incite à penser par ailleurs que la nature intime des choses, au delà des quantas qui ne sont que de l’information, de l’observation, est duale : 0 1 , noir blanc, bon mauvais, stable instable, ordre chaos, positif négatif, attirance répulsion, pro anti. Sans cette différence de base, pas d’action, pas de mouvement, rien ou tout c’est pareil.

    Vu les imperfections (invraisemblable gaspillage de ressources et d’énergie) de ce monde, un dieu, un principe, une force, un équilibre, une inflexion, une conscience supérieure, raisonnable, constructiviste, tendrait vers le haut, vers le meilleur, le zéro-défaut : l’ordre, l’unification, l’immortalité, l’harmonie résonante, l’affranchissement, la transcendance : la conscience cristallisée (re)devenue une, universelle, intemporelle, omnisciente.

    C’est le sens observable de l’évolution des choses dans cet univers : l’auto organisation de l’information et l’émergence de la conscience, sur un mode aléatoire au départ (lois de la jungle universelle), puis de plus en plus optimisé à mesure du progrès et de la mise en réseau des supports matériels à son expression, dont l’homme est un maillon, et la machine son successeur désigné (seule capable de l’indispensable vie et exploration de l’espace).

    Si le cristal parfait (l’ordonnancement, l’harmonie, la transcendance) est le but (vaincre l’entropie), il se traîne un boulet.

    Le chaos, l’instabilité, l’incertitude, voire une ignorance fondamentale de la racine des choses (théorème de Godel), et donc de leur contrôle, ne peuvent être éliminés, puisqu’il font partie intégrante de la formulation de base du réel, du jeu de construction de cette unité à rebâtir.

    La moindre particule d’aléas, résiduelle ou spontanée/quantique, dans le cristal et ledit cristal tôt ou tard, se fissure, se désagrège, chute et explose, et renaît de ses cendres via des lois cadres éternelles qui recréent de cette chute, un autre kit aléatoire de lois de circonstances (ex : celles régissant ce présent univers) pour tenter d’arriver à nouveau au graal, à la supra meta structure consciente parfaite et inaliénable.

    Et ainsi de suite (les cycles explosifs sont une constante de la fabrique des choses ici bas).

    La question est de savoir si toutes ces tentatives auront une fin et si cette fin n’est pas non plus un nouveau commencement, vers plus ou autre chose...

    Vu les combinaisons possibles, les forces en jeu et les équations aux limites, on n’est pas sorti de l’auberge.

    La physique quantique n’est qu’une tentative d’approche de la vérité, oeuvre nécessaire et honorable s’il en est, sachant que celle-ci se dérobe inéluctablement à mesure que l’homme 2.0 entend la mesurer (non sans danger étant donné les énergies à manipuler pour ce faire).

    Ce champ est définitivement livré aux croyances, et force est de constater que les croyances demeurent les pires vecteurs de conflits et de chaos.

    Quand bien même, cette auto-destruction féroce ouvre la porte à d’autres avenirs, d’autres modalités, d’autres planètes, espèces et mondes pour prendre le relais, saisir leur chance, se dépasser, y arriver, ou pas.

    Un mal pour un bien.

    Le réel, la conscience, a tout son temps pour se développer, chercher, expérimenter, rebooter et corriger ses bugs.

    L’humain, dont chaque individu est en soi un mini univers projeté, est pour l’heure structurellement voué à l’aliénation.

    La complexité est finalement plutôt simple à la base, mais nous sommes plus disposés aux faux semblants qu’à la (« cruelle ») réalité des choses.








  • jeando jeando 23 janvier 2015 10:09
    Le format des news tv privilégie forcément les raccourcis et les caricatures (tout est pardonné ? : sauf par La yatola Hidalgo !).

    La carte de ces « zones où il ne fait pas bon aller » est assez fidèle mais aussi assez indulgente : l’expérience et le ressenti des choses ne sont pas du même grade, suivant qu’on est touriste de passage ou qu’on est résident sédentaire (pas pour très longtemps non plus, forcément).

    Manquent en particulier toute une frange d’insécurité notoire et censurée dans le XXème, sans parler des extensions du « Grand » Paris (les kazbas géantes du 93 94 91 etc. jusqu’aux « villes nouvelles » de Cergy Pontoise et d’ailleurs, néo décors post-apocalyptiques cheap pour Hollywood).

    La Cathédrale des Rois de France à Saint Denis et son marché de ramadan permanent, c’est un peu comme Sainte Sophie à Istanbul : tout un symbole...

    D’une façon générale, c’est tout Paris et sa région qui sont devenus une lie insécure et invivable sauf pour les bobos vaniteux aveuglés par leur foi intégriste dans le fauxcialisme et sa propagande (Cf. videos harcèlement de rue, photo albums porcherie voirie, blogs anti intox, etc.).

    Une carte immobilière à prendre en compte pour tout candidat locataire ou acquéreur, sous réserve de la nouvelle politique de peuplement intérieur de nos gouvernants.


  • jeando jeando 16 janvier 2015 18:28

    Dans la dernière video publiée sur le web


    montrant la revendication toute fumante et la fuite zoum zoum zen* des vengeurs masqués du prophète blasphémé,

    on peut entendre en voix off (manifestement des ouvriers immigrés à l’oeuvre sur un toit) un délectable : « c’est ça la France » (je passe sur « ces enc.. de flics », au moment de l’arrivée de la voiture sérigraphiée dont le battage en retraite exemplaire, signa l’arrêt de mort un trottoir plus loin, de leur collègue vététiste)

    Ce qu’on appelle « la France », « les Français », les « bons » citoyens par rapport au « mauvais » pour qui la chasse à cour est ouverte, c’est cette frange minoritaire de la population qui regarde la télé béatement, répond aux sondages sélectionnés, se déplace encore dans les urnes pour déléguer leurs petits pouvoirs non assumés à des escrocs en bande organisée.

    L’état est une religion, sa première communion c’est le scrutin, sa deuxième des matches de foot en prime time, sa bible la constitution, son clergé les merdias, son denier du culte les banksters, ses pervers défroqués les Cahuzac Dsk and co, ses saints le showbizz, ses marchands du temple le cac 40,ses mosquées les mairies, son vatican les palais dorés, ses prédicateurs les publinazistes, son « notre père » un chant guerrier, son catéchisme les écoles, son prophète une pasionaria au sein nu brandissant sa croix un drapeau mémorisable : malheur à celui ou celle qui veut un jour se libérer de cette secte dominante qui ne l’est (dominante) qu’à coups de massacres des autres formes de domination dissidentes et concurrentes...

    Ce ne sont pas la France et les « Français » qui se sont agglutinés pour crier au loup (en ayant pris soin de tuer leurs vrais chiens de garde qui aboyaient trop fort depuis trente ans) en ce jour du seigneur 11-1-15, en sus des sempiternels groupuscules hystériques pride de tout poil au formatage exacerbé par leurs nouveaux implants électroniques décuplés en réseau, mais plutôt cette branche du troupeau de veaux variété Bisounours à cerveau disponible spongiforme (à pulsion induite Vs raison critique), qui a braqué ses petits crayons Harry Potter sur l’ennemi, comme les sans dents Scotmen ont agité leurs fesses au nez et à la barbe de leurs envahisseurs Anglish.

    On connaît la suite...

    Et c’est ainsi qu« aux armes cetera », succéda : « daech t’es foutu, les teletubbies sont dans la rue ! »

    Un pet dans un verre d ’eau.


    *

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