Oui, je ne comprend pas pourquoi on devrait donner le moindre crédit à ce gars. S’il n’a pas vu la crise arriver, c’est qu’il ne savait pas ce qui se passait à l’époque, et donc il y a de bonnes chances qu’il continue à se tromper maintenant.
Il vaudrait mieux écouter tous ceux qui l’ont prévue, et ils sont nombreux. J’ai étudié leurs arguments, et j’ai vendu tous mes actifs boursiers en juin 2008.
Et tous étaient absolument unanimes sur la cause principale de la crise : l’interventionisme de l’Etat sur les marchés financiers. Comme d’ailleurs pour la crise des années 30 : il n’y a pas un économiste sérieux aujourd’hui pour dire qu’elle n’était pas causée par l’Etat.
Alors ignorez cet imbécile, et écoutez ceux qui ont compris, par exemple Robert SHILLER, Peter SCHIFF ou Nouriel ROUBINI.
Ah, si seulement c’était vrai... Imaginez, par exemple, des trains aussi bon marché et sûrs qu’en Angleterre, ou encore leur système de santé, beaucoup plus performant et tellement moins cher...
Mais bon, je ne crois pas une seconde que la France aie une chance de signer un tel traité. Nous sommes la définition même du socialisme pour le reste du monde, après tout.
Bon article, du moins les deux premiers tiers. Après, l’auteur verse dans le mythe de l’exploitation des pays sous-développés, ce qui est une aberration depuis l’abolition de l’esclavage.
Si les chinois vont travailler chez Apple, c’est qu’ils ont des meilleures conditions salariales qu’ailleurs. La délocalisation est vertueuse, car c’est grâce à elle que ceux qui ont le plus besoin d’une amélioration de leurs conditions de vie, l’obtiennent. Les multinationales ont plus fait pour les « pays sous-développés » (qui le sont de moins en moins) que n’importe quelle aide entre états, qui finit en grande partie dans la poche d’un politique ou d’un fonctionnaire.