Belles explications, malheureusement elles sont fausses.
Le pays organisateur a certes des frais mais il a aussi de grosses recettes dont l’essentiel provient des 4 plus gros pays à savoir l’Allemagne, l’Espagne,la France et la Grande-Bretagne. Gros pays en terme de marché télévisuel s’entend. Ces 4 pays, qui étaient 5 du temps de l’Italie, sont depuis quelques années particulièrment mal classés pour diverses raisons qui ne sont pas toutes liées à la prestation. Quand on sait que ce sont parfois des télés publiques qui financent, les téléspecteurs peuvent légitimement chercher à se mêler du « spectacle » offert. Si un autre gros devait faire comme l’Italie et tirer le tapis, l’eurovision serait sand doute condamnée.
Quant au explications sur la langue anglaise, l’édition de cette année aura suffit à prouver qu’elle ne tient pas et on notera par ailleurs que deux pays avaient choisi une langue autre que la leur mais pas l’anglais puisqu’il s’agissait de l’italien ... et du français (en demi-finale).
Bien d’accord avec ce commentaire. L’auteur essaie de briller en prenant comme sujet un événement risible, c’est lui qui devient inconsistant et médiocre. L’eurovision c’est kitsh et ringard ? Qui a défendu le contraire ?
En rajouter une couche sur les commentateurs, tout à fait dans le profil du truc, n’est pas plus glorieux, surtout pour regretter l’absence des deux guignols évoqués et qui n’avaient vu dans le spectacle qu’un moyen de se moquer sans danger de quasiment tous les concurrents.
Et tout ça pour finir par un commentaire de midinette. Faudrait savoir.
Ce dessinateur démontre tous les jours que dans dessin d’humour, il y a surtout humour.
Il le démontre par l’absurde, de l’humour on n’en trouve guère.