les règles de l’économie de marché s’appliquent mal aux produits alimentaires et notamment aux pommes de terres comme l’a montré les évolutions de marchés du blé, café etc ces dernières années. Plusieurs facteurs rendent ce marché peu parfait : - la distance entre la décision de produire et la production finale - une forte incertitude sur la quantité produite. Prenons l’exemple du blé produit dans des conditions assez connu en France. le producteur décidera de produire au plus tard à l’automne une production qui n’arrivera qu’en juillet evec un rendement variant de 7 T/ha à 8.5 T/ha (selon la météo, les engrais apportés, les maladies du blé) La décision de produire dépendra de données agronomiques et de marché à l’automne 2007, le blé valait 250 €/T, le producteur l’a vendu 150 €/T à l’été 2008. Encore des productions comme le blé ou la pomme de terre peuvent se stocker ce qui n’est pas le cas de denrée plus périssable comme le lait. Cela entraine l’application de la loi de King, une variation de production de 2 à 3 % entraine une variation des prix de 10 à 20 %. L’exemple de lucilio du café est caractéristique en comparant le cours du café acheté en ce moment par Stabuc et le commerce équitable. Je ne saie si c’est par malhonnêteté ou incompétence qu’il oubli de préciser que le cours du café sur le marché libre est en ce moment haut donc proche du cours du commerce équitable. Le but du commerce équitable n’est pas seulement d’assurer un cours nécessaire à la vie du producteur mais surtout de le prémunir contre les fluctuations du marché beaucoup plus problématiques que des cours assez faibles. Pour la nourriture il faut toujours avoir conscience que la production varie fortement en fonction des années (gel, sécheresse) et que l’acte de production est relativement long, a cela s’ajoute le fait que c’est une activité assez capitaliste, il est nécessaire d’avoir beaucoup de capitaux et de technicité pour produire des denrées alimentaires.
votre article me parait fortement orienté tout d’abord en apportant des faits hors sujet (nocivité du CO2, acidification du milieu etc) puis avec un raisonnement peu rigoureux reprenant une journaliste septique et les rares scientifiques (non specialistes) sceptiques et en amalgamant le scandale du climategate. Après ce scandale de quelques scientifiques impliqués dans la manipulation de chiffres,qui ont abandonnés les fonctions depuis. il semble que la majorité des scientifiques du GIEC considèrent toujours l’interaction entre CO2 et rechauffement climatique+. Comment pouvez vous faire plus confiance à une journaliste qu’a des scientifiques spécialistes ? Je trouve que vous manqués vraiment de rigueur dans cet article.
Être contre la vaccination contre un virus de la grippe compte tenu de la grande variabilité du virus est une chose et je partage. Je suis aussi de votre avis sur la déraison dans la gestion de ce dossier. Cela montre l’incompétence et l’absence de discernement du ministère de la santé. Je ne puis par contre aller dans le sens des anti-vaccins que l’on rencontre sur ce site et sur internet. Les commentaires des « élites journalistiques » me paraissent justifiés pour appeler au bon sens civique pour les autres vaccins mais peut être pas pour celui la. C’est ce qui pose problème c’est comment nous utiliserons cette expérience pour les prochaines campagnes de vaccination qui seront elles peut être justifiées. Le problème c’est le manichéisme de certains. Il est nécessaire pour chaque campagne de vaccination de faire le rapport entre les avantages et les inconvénients. En cas de pandémie les anti-vaccinations bénéficient toujours du fait que les autres sont vaccinés. Il bénéficie d’une diminution de pression de la maladie, la pandémie est « ralentie » ne touchant pas les gens vaccinés. IL NE FAUDRAIT DONC PAS « TUER » LA VACCINATION (en général) AVEC CETTE CAMPAGNE DE VACCINATION H1N1.