Les fabricants de vaccins emploient (directement ou
indirectement) des quidams qui portent parfois le nom de Désintox. Quand une
recherche rigoureuse a montré qu’un produit est dangereux, une foule d’études
de piètre qualité sont produites pour affirmer le contraire (voir ce qu’il en a
été avec l’Hydroxychloroquine et l’étude du Lancet), ce qui confond la
population parce que comme en attesteront les journalistes « les
chercheurs ne sont pas d’accord entre eux ». Cette industrie du doute est très
efficace pour distraire les gens et entretenir l’ignorance des torts. Les
fabricants de vaccins achètent du temps, augmentent leurs profits, pendant que des
personnes continuent à être victimes d’effets indésirables, voir de mourir.
Les conflits d’intérêts dans les périodiques médicaux
« Dans ce qu’on appelle l’ère de la responsabilité, les
rédacteurs en chefs continuent à ne rendre de comptes à personne, tels des rois.
Tout ce qui entoure les périodiques médicaux est corrompu,
car les propriétaires font de l’argent en restreignant l’accès aux recherches
importantes, financées le plus souvent par les deniers publics. »