Arrête de pleurer Hélios, tu me fais de la peine. Le meilleur moyen de ne pas prendre une balle dans le dos par un flic, c’est de ne pas se mettre en situation délicate. Ce type est un multirécidiviste violent ’’bien connu des services de polices’’ selon la formule consacrée et je ne vais certainement pas pleurer sur son sort. Il s’est mis au ban de la société, il a joué, il a perdu. Tant pis pour lui. Le pire, c’est que bien que menotté, il a encore voulu se faire la belle, il refusait donc la justice française. Face à ce genre de gugus irrécupérable je ne vois pas ce qu’on peut faire... Même mon chat, quand je l’engueule , il comprend. Bon alors ça va quoi...
Je ne vois pas vraiment l’intérêt de cet article. Qu’apporte-t-il de nouveau ? Cela fait mille fois que je lis ce genre d’étude sur l’origine des Français, sur les vagues d’étrangers qui se sont succédés depuis des milliers d’années. Bon et alors ? On fait quoi maintenant ? c’est bien ? pas bien ? où est la synthèse ? On le sait que nous sommes ’’mélangés’’, pas besoin de publier une énième thèse là-dessus...enfin thèse...faut le dire vite car quand vous commencez par ’’cet article s’appuie sur l’Histoire, faits vérifiés et avérés intégrés dans une thèse de doctorat d’histoire etc..’’ et que vous affirmez que 400 Italiens ont été lynchés à Aigues-Mortes en 1893...permettez-moi de vous dire que vous n’êtes absolument pas un historien car ces chiffres sont totalement fantaisistes (et de plus font passer nos proches aieux pour de gros racistes sanguinaires ce qui n’était évidemment pas le cas). Enfin vous terminez par une phrase cul cul la praline et vraiment bizzare : "au lieu de penser à légiférer pour empêcher quelques trois cents femmes
de porter le voile intégral, voyons ce que nous pouvons faire pour que
la richesse produite par l’écologie ne tombe pas encore dans les mêmes
poches", quel rapport entre le voile...l’écologie...la richesse dans les mêmes poches.... On dirait un gamin qui parle... Vraiment vous ne donnez pas envie de lire cette soi-disant thèse