Je viens de lire cet
article... Tout d’abord, par respect pour les lecteurs, l’auteur aurait
pu se relire et corriger les fautes d’orthographe... Concernant le fond,
je trouve cette analyse très superficielle et assez partisane, comme si
l’auteur la plaignait (on tape sur une femme à terre)... Je pense que
« le cas Royal » a débuté bien avant ce qui en est dit. En 2007, après
avoir perdu aux présidentielles, il faut se souvenir que Mme Royal a
précisé qu’elle ne croyait pas elle-même au SMIC à 1500 € qu’elle avait
annoncé - c’est déjà un aveu de manque de respect, à mon sens - Avant
cela, on sait tous comment elle a fait le « forcing » auprès de l’ancien
président Mitterrand pour être au gouvernement de l’époque... Bref, on
peut alors se poser la question si cette femme ne veut pas aboutir par
soif du pouvoir, simplement, et non par convictions idéalistes.
Concernant, les législatives, on sait pertinemment que le dissident
socialiste est un ami proche de l’actuel président car il a été à ses
côtés au moment même où tout le monde l’avait lâché. On sait aussi que
M. Falorni était « le témoin intime » de la relation de M. Hollande avec Mme
Trierweiler dès le début... on peut comprendre alors pourquoi la
journaliste lui a envoyé un tweet favorable... enfin, concernant cette
dernière histoire, Mme Trierweiler vient d’avouer qu’elle regrettait ce
tweet et le mal qu’il avait occasionné - ce n’est donc pas de la
machination mais bien de la bêtise de la part de la journaliste -
sachant que le président Hollande avait soutenu son ex-compagne. Pour
conclure ce chapitre, le peuple a choisi démocratiquement pour La Rochelle. Pour
le reste, d’autres ont proposé une démocratie participative sans pour
cela être mis au pilori... Soyons patients, attendons de voir ce que le
président de la République va faire puisque le peuple lui a donné tous
les pouvoirs !