jamais la France n’a manqué de masques. Au début il y avait un stock stratégique qui permettait de tenir 6 semaines pour les soignants et autres prioritaires. C’est le Gvt qui a délibérément organisé la pagaille et la pénurie. Pas de réquisition des industriels du textile, pas d’encouragement à une fabrication domestique, blocage des initiatives privées et publiques hors état. De toutes façons, les masques ne servaient à rien pour le grand public, ce qui n’était pas entièrement faux. Et maintenant mascarade générale, dedans, dehors, pour les vieux, pour les jeunes, et même les enfants.
Pour les lits de réanimation, même topo. Au début 5000 en France, le triple en Allemagne. On s’affole, on bricole. Macron en promet 15.000 illico. Fin mars, on se rend compte que la réanimation dure est contre productive. Il faut utiliser l’optiflo (oxygénation intensive), anticoagulants, cortisone. Du coup les lits utilisables triplent. Le chiffre de 5000 qu’on nous ressasse depuis est une arnaque.
Pour les tests, pénurie puis gabegie. Omerta sur les recherches sur eaux usées (Obépine et Comete à Marseille). Les tests sont gaspillés et inutilisables pour la pratique médicale. Ils ne font que générer à 90% des arrêts de travail.
Un vaccin qui vient de sortir à peine testé, non merci.
Un vaccin qui n’est pas un vaccin mais une thérapie génique
expérimentale, non merci.
Un vaccin sans garantie du laboratoire, et qu’on achète les yeux fermés,
non merci.
Un vaccin pour protéger des bien-portants sans risques avérés, non merci.
Un vaccin qui n’a pas été testé sur les vieux, ni sur ceux atteints de
comorbidités, non merci
Un vaccin dont les effets mutagènes à moyen terme sont inconnus, en
particulier sur les femmes enceintes, non merci.
Un vaccin qui n’empêche pas d’être porteur et contaminant pour les
tiers, non merci.
Un vaccin qui peut provoquer des effets indésirables forts certes non
létaux pour les jeunes cobayes, mais non évalués sur les personnes
fragiles, non merci
Un vaccin qu’on propose à des gens déjà immunisés, au risque de grave
complications, et sans effectuer avant un test sérologique efficace, non merci.
Un vaccin dont on est tellement sûr, qu’on en précommande 2 autres par
centaines de millions, non merci.
Un vaccin pour occulter les progrès fulgurants du traitement médical des
malades, non merci.
Un vaccin qui viendra après la bataille, la fin naturelle de l’épidémie,
non merci. non merci, non merci
Mais si vous en avez vraiment envie, je vous laisse ma seringue