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jms

Ingénieur informaticien de métier, j’interviens depuis plusieurs années sur un site collaboratif local www.district-crecy.com dont j’assure également l’administration.
Des sujets locaux aux sujets nationaux, il n’y a qu’un pas, d’où mes incursions sur l’excellent site d’expression citoyenne libre agoravox.

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  • jms 30 juillet 2008 21:39

    Cet article est criant de vérités ; des évidences pour tous ceux qui écrivent bénévolement sur internet au travers de blogs perso ou de sites communautaires. On le dit , on le redit, les journalistes professionnels ne sont pas aussi indépendants que les amateurs qui disposent d’une vraie liberté. C’est au niveau des medias traditionnels qu’il faudrait le crier ! Mais ceux-ci sont aux mains des professionnels qui ne sont pas prêts à faire leur auto-critique.



  • jms 18 juillet 2008 22:40

    Montaigne, en effet.
    C’était sûrement moins élitiste pour rentrer ; ensuite c’était à chacun à aller jusqu’au bout de ses capacités.

    Comme quoi, nous sommes dans un monde de plus en plus concurrenciel et où les bases sociales et financières sont primordiales, alors qu’on aurait pu espérer une démocratisation gradissante de l’éducation. Les taux de réussite au bac ne sont qu’illusion de réussite finalement.



  • jms 18 juillet 2008 16:14

    Histoire bien racontée, plaisante à lire.

    Pleine de réalisme, un peu de péssimisme toutefois.

    J’ai connu un peu la même histoire, 30 ans plus tôt.

    Peut-être est-ce moins facile de nos jours. A l’époque l’ascenseur social marchait mieux dit-on et on voulait y croire. Après le bac, je n’ai pas choisi l’IUT, pourtant fils de petit paysan "mal dégrossi" comme vous dites. J’ai osé les classes prépas (à Bordeaux précissement, dans une grande ville où je n’avais jamais mis les pieds) puis une grande école. Venir de la campagne ne donnait pas de sentiment d’infériorité, au contraire, cela donnait encore plus l’envie de s’accrocher et de s’en sortir.
    Qu’est-ce qui a changé ?



  • jms 18 juillet 2008 15:00

    Sujet intéressant qui a le mérite de faire un peu le point sur la situation actuelle et de proposer quelques solutions.
    Vous avez raison de penser que l’état ne se mélera pas ou très peu de ce qui est le "marché", sinon au travers des fameuses incitations fiscales (De Robien and co) dont certains décrivent comme des facteurs de hausse des prix, à juste titre sûrement.
    Aborder l’aménagement du territoire comme solution est bien vu. Les déséquilibres de la France, Paris et le désert français, d’une part, inadéquation entre zones d’habitat et bassins d’emplois sont à prendre en compte.
    Par contre vous n’avez pas abordé le problème du logement social. C’est en soi un vrai sujet qu’il serait nécessaire de réformer.
    Quand on sait que 70% de la population y est élligible, que les seuils de 20% peinent à être respectés, que le futur SDRIF (schéma directeur de l’ile-de-france) prône les 30% de logements sociaux, allant à l’encontre des populations et des élus locaux, on sent qu’il y a un problème. Le logement social fait peur, il est dans l’imagination collective, symbôle de tours hideuses, de délinquance et de mal vivre. Pourtant, il existe du logement social sous forme de petites villas coquêtes dans des mini-lotissements en province ; d’autres part les normes de production du logement social sont devenues très élevées. Par un mélange de logements sociaux et de logements du secteur concurrenciel (l’habitat dit mixte), on arrive à une cohabitation harmonieuse. En fait, c’est le concept et le terme qui font peur et qui créent des blocages.
    Pourquoi ne pas supprimer le logement social finalement ? C’est pas le logement qui doit être aidé, ce sont les habitants en fin de compte. Pourquoi pas ne pas attribuer une aide proportionnelle aux personnes selon leurs revenues et situations, independamment de leur logement, une APL généralisée en somme. L’état ne serait donc plus acteur de la construction mais il faudrait tout de même imaginer un moyen de contrôler et de stimuler le secteur sans laisser les promoteurs seuls faire la pluie et le beau temps dans l’immobilier.



  • jms 18 juillet 2008 14:33

    Que ces propos sont blessants et inapropriés !
    Encore un contaminé de la ville !

    Les valeurs rurales, que vous avez l’air d’ignorer, sont toutes simples :

    - c’est l’entraide et la solidarité avec ses voisins,

    - c’est préférer la nature au béton,

    - c’est aimer le silence des grands espaces,

    - c’est considérer que la terre c’est pas sale,

    - c’est prendre son temps,

    - c’est s’émouvoir du chant d’un oiseau,

    - c’est accepter les contraintes des éléments de la nature,

    - c’est ne pas chercher à aller contre la nature,
    la liste serait longue, je vous en ferait gràçe.
    Bien sûr, au quotidien, tout cela à tendance à disparaitre. Je me souviens de ma grand-mère qui ne commençait pas sa journée sans être allée saluer tous ses voisins. Même dans les zone rurales, les gens vivent à 100 à l’heure, mais c’est bien dommage !

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