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Joaquim Defghi

Ancien ingénieur devenu blogueur, observateur des mondes extérieur et intérieur.

Tableau de bord

  • Premier article le 04/02/2014
  • Modérateur depuis le 15/02/2014
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Derniers commentaires



  • Joaquim Defghi 14 juin 2014 13:32

    Bonjour Lisa, qu’est-ce que l’intérêt général ? Pour moi c’est la vision d’un petit groupe de personnes qui explique à l’ « opinion » que c’est mieux ainsi, que cela permet à la nation de dominer d’autres nations. Le référendum permanent par exemple, part d’une question posée à l’ensemble de la société, mais qui pose cette question ? 

    D’autre part, la gratuité pour tous me semble ni réalisable ni souhaitable. Non réalisable car le monde est à des années lumières d’être un lieu d’abondance pour chacun. Dès qu’il y a une quantité limitée, alors, il y a tension, conflit pour l’appropriation. Non souhaitable, parce que la gratuité signifie qu’on accepte tout comme un cadeau. Mais un cadeau est lui-même rarement gratuit dans une économie de don, même nos cadeaux entre amis ou au sein de la famille ne sont pas entièrement gratuits, ils sont là pour signifier un lien qui souvent comporte une bonne part d’aliénation, nous empêche de prendre du recul et de penser par nous-même. 
    La gratuité ne résoudrait en rien selon moi l’aliénation, elle serait plutôt un retour en arrière. Si la finance comporte des dérives terribles et inadmissibles, cela ne signifie pas que l’argent est condamnable, qu’il n’a pas certaines vertus. Il a en particulier cette vertu de pouvoir délier, contrairement à une économie de don où tout don va impliquer à plus ou moins long terme un contre-don. 


  • Joaquim Defghi 7 juin 2014 10:33

    @bakerstreet - Quel empire n’est pas construit sur du virtuel en partie ? Maintenir sa propre population - et d’autres - dans une relation dominant-dominé nécessite de puissants mécanismes psychologiques qui jouent à mon sens un rôle bien plus important que la puissance militaire. 


    Qui dit effondrement du dollar ne dit pas effondrement de la finance, seulement évolution de cette dernière. En ce sens, l’Angleterre est bien positionnée en tant que place financière de premier plan et Londres en tant que ville accueillant le plus de milliardaires au monde...


  • Joaquim Defghi 6 juin 2014 19:10

    Merci. Je ne crois pas non plus en une « Apocalypse » à laquelle tant de gens aspirent régulièrement. Et comme vous l’évoquez, un effondrement, quel qu’il soit, n’est pas forcément de nature à faire évoluer les jeux de pouvoirs, ces derniers demeurent. 

    Même après l’effondrement du dollar, c’est-à-dire qu’il perd son hégémonie, les Etats-Unis resteront un acteur majeur ; les déclins prennent du temps, et il ne sont pas nécessairement synonymes de banqueroute totale. Prenez par exemple l’Empire britannique, il a de beaux restes. J’évoque d’ailleurs dès le début de l’article un rééquilibrage


  • Joaquim Defghi 6 juin 2014 12:09

    N’y aurait-il pas dans cette baisse de l’or un rôle des banques centrales qui incitent à acheter de la monnaie ? D’autre part, une crise n’est pas prévue. Si elle l’était, elle n’en serait probablement pas une. Les investisseurs choisissent actuellement plutôt des placements risqués comme les valeur technologiques ou des placements qui leur paraissent sûr : les obligations d’Etat. Mon analyse n’est pas du tout celle des économistes qui, au contraire, n’arrêtent pas de prédire de beaux jours entre le miracle du gaz de schiste, la croissance chinoise ou la croissance africaine qui constitue elle aussi une bulle, comme d’habitude, car elle repose sur les matières premières. 



  • Joaquim Defghi 3 juin 2014 14:18

    Bonjour JL,

    il y a souvent le concept qui paraît intéressant sur le papier, et sa mise en application qui révèle des pratiques intéressées. C’est le cas par exemple de l’accaparement des terres en Afrique, je viens de faire à ce sujet une synthèse d’un rapport édifiant d’une ONG anglaise.
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