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Joe Chip

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  • Joe Chip Joe Chip 6 juin 2015 21:06

    Quel ramassis de conneries. Ma mère a travaillé dans une grosse entreprise française de fourniture d’eau, j’ai moi-même travaillé chez un fournisseur d’énergie et je peux témoigner qu’il n’existe pas d’absolution des impayés (le seul choix du terme est déjà hautement comique). C’est même plutôt le contraire.

    Je vous enjoins quand même à enquêter un minimum sur un sujet avant de vous laisser glisser sur la pente naturelle de votre idéologie.



  • Joe Chip Joe Chip 1er juin 2015 12:20

    Il n’y a pas que ça, les nutritionnistes américains s’attaquent également au « dogme » des trois repas par jour, et les régimes basés sur deux voire une voire aucune prise alimentaire par jour commencent à entrer dans les habitudes des csp+ américains. L’argument est toujours le même : plus de productivité, soignez votre ligne ...

    Allez, dans 15 ans maximum on expliquera que les Français sont des inadaptés ronchons à vouloir s’accrocher à leurs trois repas par jour et à l’alimentation solide. 



  • Joe Chip Joe Chip 28 mai 2015 23:05

    @Ruut

    Quand on explique la défaite de 1940 par la mort de Louis XVI - j’ose espérer que vous ne faites pas référence à Louis-Philippe - parce que - idiots que nous sommes - nous n’avons pas utilisé des centrales nucléaires et des moteurs électriques pour faire la guerre aux Allemands (qui, de leur côté, perdaient leur temps à convertir leur charbon en pétrole, on se demande bien pour quelle raison...), c’est que l’on est pas en mesure de comprendre grand-chose à l’histoire.
    En outre, je n’ai pas parlé de pénurie de pétrole mais d’une dépendance au pétrole britannique, ce n’est pas tout à fait pareil.



  • Joe Chip Joe Chip 28 mai 2015 15:55

    @CN46400

    Réponse péremptoire et sans intérêt, puisque vous extrapolez mes propos pour me faire dire ce que je n’ai pas dit. Je n’ai nullement accusé les Anglais de traîtrise, j’ai dit que les Français avaient insuffisamment défendu leurs intérêts face à leurs alliés : 

    « Vous pouviez librement couvrir de boue le chef de l’Etat et ses ministres, nier effrontément nos engagements internationaux les plus évidents, désavouer le gouvernement de votre pays en pleine négociation diplomatique, donner tort à la France devant l’étranger. Bravo ! C’était de bonne guerre… Mais il vous était défendu de critiquer la mystique de l’équilibre budgétaire, sous peine d’être considéré comme un traître et accusé de provoquer des catastrophes… » (Jean Zay, à propos du monétarisme durant les années 30).

    A Munich, il était déjà trop tard, les erreurs commises par les Français et les Anglais à ce moment-là sont pour ainsi dire fatales. La seule différence, c’est que les Anglais avaient un fossé rempli de flotte pour les protéger et leur donner le temps de réagir.
    Cela n’exonère en rien les responsables français des erreurs majeures qui ont été commises entre 1921 et 1936.



  • Joe Chip Joe Chip 28 mai 2015 03:00

    L’Angleterre contrôlait 90% de nos importations pétrolières avant la guerre, à partir de là tous les « yavéka/falékon » se heurtent au problème principal, qui est qu’on ne peut pas faire la guerre sans pétrole, ce qui voulait dire, en l’occurrence, sans avoir le tampon politique des Anglais qui, de leur côté, concédèrent presque tout aux Allemands, jusqu’à aller signer cyniquement un accord naval avec Hitler le jour de l’anniversaire de la bataille de Waterloo.... heureusement pour eux, ils avaient Churchill, qui rompit énergiquement avec cette politique et fit surveiller de près tous les sympathisants de la cause allemande, en particulier dans la famille royale, sans quoi, les choses auraient pu très mal tourner pour l’Angleterre .

    Il faudrait aussi rajouter le problème monétaire (déjà !) et la crainte des autorités françaises de voir le franc s’effondrer sous l’effet des attaques spéculatives, comme dans les années 20. Cette obsession monétariste devait conduire Poincaré à renoncer à toute politique de force en Ruhr-Rhénanie, dans l’espoir de garder l’appui des grandes banques anglo-américaines, et à renoncer en outre à la garantie d’intervention américaine en cas d’attaque de l’Allemagne que les Français avaient obtenu en 1921 en échange du retrait des troupes et du renoncement à un état-tampon sur le Rhin.

    Affaibli militairement et économiquement après la première guerre mondiale, la France s’est retrouvée pieds et poings liés devant l’Allemagne en raison de la politique étrangère complaisante, pour ne pas dire complice, poursuivie par les « alliés », raison pour laquelle de Gaulle ne pouvait pas piffrer les Américains et fit tout par la suite pour rétablir l’indépendance française dans le plus grand nombre de domaines possible.

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