« Il n’était pas le seul à être atteint par ce kit d’auto-destruction, mais il était le seul à peindre des toiles de Van Gogh. Ne confondez pas l’occasion avec la cause. »
Parfois on s’interroge. Qu’est-ce qui a fait d’un sous-Millet un peintre hallucinant ? En si peu de temps qu’il est difficile d’y voir quelque chose de réfléchi ?
« Tous ceux qui se réclament romantiquement de Van Gogh l’auraient méprisé s’ils l’avaient croisé tel qu’en lui-même. Et si vous le rencontriez aujourd’hui, vous lui feriez sa fête, à votre façon du lynchage agoravocien. »
Il a rencontré de la sympathie et de la compassion. Aussi bien à St Rémy qu’à Auvers. Et ne jouez pas au martyr, vous êtes illustre de votre vivant si l’on en croit votre biographie.
« D’ailleurs vous parlez surtout de Van Gogh en raison du fait qu’il est une valeur kitsch hollywoodienne. »
Non. Parce qu’il en était question dans votre post.
« Quand c’est Jules Dupré qui est le vrai sujet de l’article... »
Je croyais que c’était l’Oise : Au fil de l’Oise de Dupré à Vlaminck. Bateliers, peintres et canotiers...
Van Gogh était atteint de xanthopsie du fait de la consommation d’absinthe. En plus, il était épileptique et souffrait d’un troble bipolaire. Le génie emprunte parfois des voies détournées.
C’est vrai ça. Mon Dieu, il a du arrêter la fumette...
Si vous allez à L’Isle-Adam venant de Paris, traversez l’Oise au retour, et passez par Nesles-la-Vallée, Vallangoujard, le Vexin Français. Goûtez la bière de Théméricourt. La campagne à moins de 3/4 h de Paris.