Salut Pepe, c’était une certitude mathématique. Comme quoi même en économie certaines lois de conservation sont respectées. Un jour ou l’autre l’équation est déséquilibrée et la finance est là pour nous le rappeler durement.
Consanguinité en effet, et à l’échelon international c’est Bilderberg (réunion bientôt à Sitges en Espagne, sous haute protection et en toute discrétion), qui selon le co-emprunteur de véhicule, j’ai nommé Devedjian, serait l’équivalent d’un salon de thé pour puissants. Et la marmotte ?
Nous vivons des moments historiques, c’est clair. Le problème, c’est que nous sommes maintenant tellement imprégnés de la vulgate économique qu’il est difficile d’imaginer ce que sera le monde après les banques. Enfin un salutaire retour aux lois physiques fondamentales, dont le fameux « rien ne se crée, rien ne se perd » de Lavoisier, occulté par les dogmes économiques ?
Hyperinflation, en effet. Voici ce qu’écrivent des auteurs de la Bank for International settlements dans un rapport récent (mars 2010) http://www.bis.org/publ/work300.pdf?noframes=1 (p18) : « La détérioration des finances publiques peut déclencher une augmentation soudaine de l’inflation attendue » et expliquent plus loin que la réaction gouvernementale sera la planche à billets, ce qui chez les investisseurs provoquera un ajustement du risque. Cercle vicieux...