Vous écrivez :
« A priori, les vaccins sont faits pour réduire le nombre
de malades, voire éliminer totalement le virus comme ça a été le
cas de la variole. Seulement, on n’en sait
strictement rien. »
VOUS AVEZ BIEN
RAISON ! Et en voici la raison… que j’ai déjà postée
Dans votre
commentaire du 30 janvier 11:41 on trouve
ceci :
« C’est
ce qui a fait l’efficacité de plusieurs vaccins, et notamment de
la campagne de vaccination de l’OMS contre la variole entamée à
la fin des années 1960, qui a permis de l’éradiquer au début
des années 1980[5] grâce à l’immunité collective
atteinte. »
Voici ma
proposition :
Certains nous disent :
« C’est la campagne de vaccination de l’OMS contre la
variole entamée à la fin des années 1960, qui a permis de
l’éradiquer au début des années 1980 grâce à l’immunité
collective atteinte. » Il est exact que la transmission du
virus de la variole ne se faisait que pendant la phase éruptive de
la maladie. Cette phase débutait environ 2 jours après le début de
la fièvre (donc pas de contamination pendant l’incubation). En
conséquence, une personne contaminée mais immunisée ne
transmettait pas le virus. On pouvait donc penser qu’il serait
possible d’éradiquer le virus par une vaccination systématique,
généralisée et obligatoire. Il est vrai que ce fut pensé et mis
en œuvre mais cela a échoué.
La variole fut en définitive
vaincue, après de nombreuses vicissitudes, par la recherche active
des malades, leur isolement, l’identification des contacts et leur
isolement.
Vous trouverez une description et analyse de ces
faits dans ces
articles https://www.aimsib.org/2019/12/22/eradication-de-la-variole-les-grandes-manoeuvres-ont-commence/
Dans votre
commentaire du 30 janvier 11:41 on trouve
ceci :
« C’est
ce qui a fait l’efficacité de plusieurs vaccins, et notamment de
la campagne de vaccination de l’OMS contre la variole entamée à
la fin des années 1960, qui a permis de l’éradiquer au début
des années 1980[5] grâce à l’immunité collective
atteinte. »
Voici ma
proposition :
Certains nous disent :
« C’est la campagne de vaccination de l’OMS contre la
variole entamée à la fin des années 1960, qui a permis de
l’éradiquer au début des années 1980 grâce à l’immunité
collective atteinte. » Il est exact que la transmission du
virus de la variole ne se faisait que pendant la phase éruptive de
la maladie. Cette phase débutait environ 2 jours après le début de
la fièvre (donc pas de contamination pendant l’incubation). En
conséquence, une personne contaminée mais immunisée ne
transmettait pas le virus. On pouvait donc penser qu’il serait
possible d’éradiquer le virus par une vaccination systématique,
généralisée et obligatoire. Il est vrai que ce fut pensé et mis
en œuvre mais cela a échoué.
La variole fut en définitive
vaincue, après de nombreuses vicissitudes, par la recherche active
des malades, leur isolement, l’identification des contacts et leur
isolement.
Vous trouverez une description et analyse de ces
faits dans ces articles
Certains nous disent : « C’est la campagne de vaccination de l’OMS contre la variole entamée
à la fin des années 1960, qui a permis de l’éradiquer au début des
années 1980 grâce à l’immunité collective atteinte. » Il est exact
que la transmission du virus de la variole ne se faisait que pendant la
phase éruptive de la maladie. Cette phase débutait environ 2 jours après
le début de la fièvre (donc pas de contamination pendant l’incubation).
En conséquence, une personne contaminée mais immunisée ne transmettait
pas le virus. On pouvait donc penser qu’il serait possible d’éradiquer
le virus par une vaccination systématique, généralisée et obligatoire.
Il est vrai que ce fut pensé et mis en œuvre mais cela a échoué. La
variole fut en définitive vaincue, après de nombreuses vicissitudes, par
la recherche active des malades, leur isolement, l’identification des
contacts et leur isolement. Vous trouverez une description et analyse de ces faits dans ces articles https://www.aimsib.org/2019/12/22/eradication-de-la-variole-les-grandes-manoeuvres-ont-commence/ https://www.aimsib.org/2020/05/10/eradication-de-la-variole-la-desastreuse-vaccination-des-sujets-contacts/ https://www.aimsib.org/2020/09/06/vaccinez-les-tous-confinez-les-ensemble-le-triste-exemple-de-1974/
Un an après le début de la pandémie et 70 000 morts, le complexe »
médiatico-sanitaire » semble découvrir la vitamine D et son efficacité
pour lutter contre la Covid (en préventif et curatif).
Cela après avoir traité de charlatans et traîné en justice les médecins et soignants qui préconisaient
ce complément alimentaire pour renforcer l’immunité.
Pourtant son rôle dans le renforcement de notre système immunitaire et
plus particulièrement dans la prévention des infections des voies
respiratoires est connu depuis de nombreuses années, tant par l’OMS que
par l’ANSES.
Selon le Pr Cédric ANNWEILER du CHU d’Angers « les personnes qui
reçoivent régulièrement des suppléments de vitamines D ont, lorsqu’elles
contractent la COVID-19, un risque diminué de l’ordre 90% de faire une
forme grave » (Cf. interview France Inter du 19 janvier à 8h).
Comme 100 % des décès sont des cas graves (c’est une lapalissade), cela
signifie qu’une prescription de vitamine D aurait pu éviter un grand
nombre de décès. Autrement dit, l’absence de recommandation de vitamine D
de la part des autorités sanitaires et des médias est responsable d’un
grand nombre de décès. Il est aussi responsable de l’engorgement des
services de réanimation des hôpitaux qui ont justifié le confinement et
le blocage de l’économie et de tous les dommages collatéraux qui s’en
suivent.
Les familles des patients décédés de la Covid par défaut de
préconisation de Vitamine D seraient donc fondées à porter plainte
contre les autorités sanitaires et les médias responsables de cette
omerta.
En effet, tout se passe comme si pour faire accepter la stratégie
vaccinale, présentée comme la seule capable de nous sortir de cette
pandémie, il y avait nécessité d’asséner quotidiennement : « Il n’y a
pas de traitement, il n’y a pas d’autres solutions que le vaccin ! ».
C’est comme si on avait voulu ancrer dans l’opinion, que la stratégie
vaccinale était la seule issue possible à cette pandémie et faire
accepter les vaccins à des populations plus ou moins rétives.