@tashrin Étant donné que le pouvoir israélien savait d’avance (à la télé française j’ai entendu parler de dix jours) qu’est-ce qui se tramait et que le Tsahal a intervenu 5 heures trop tard, il faut conclure et ajouter les morts israéliens aux morts du coté palestinien. Cela fait combien d’Oradour sur Glane ?
« « Il existe des soupçons fondés que ces vaccins peuvent s’insérer dans notre ADN, provoquant des mutations dont l’impact est inconnu et qui pourraient même être transmises à notre progéniture. »
Et c’est bien pour ça que c’est fait, ce ne sont donc pas que des soupçons mais une réalité criminelle !!!! »
Oh ! Les gros mots ! Et ces affirmations que rien ne vient étayer !
L’ARN du spicule injecté avec le vaccin, non pas dans votre ADN, ni dans votre cellule, il se promène dans le sang, parce que pour qu’il puisse s’introduire dans la cellule il faut d’abord, que le spicule d’un virus entier vienne se coller à la membrane de la cellule et fasse une ouverture afin que le virus y introduit son ARN complet.
Une fois l’ARN en bonne place et la cellule dominée, la réplication des virus peut commencer. Des virus pleins de vigueur peuvent alors proliférer avant que le système immunitaire alerté ne fasse le ménage.
Cela prend du temps, certes et ça c’est produit depuis des millions d’années. Ils pouvaient et ils l’ont fait, soyez assurés, de s’insérer dans notre ADN, de provoquer toutes sortes de mutations. Parmi ces mutants il est facile de reconnaître des mutants particuliers, qui se protègent et protègent les virus et nous racontent des bobards, ils ont la trouille de voir l’ARN du vaccin provoquer une mutation et par hasard retrouver leur ADN humanisé.
Le glanage est un droit d’usage sur la production agricole, existant notamment en France, sous différentes formes depuis le Moyen Âge. Il subsiste encore au XXIe siècle ____________ France Renaissance Au cours du XVIIIe siècle, avec la réaction seigneuriale, les conditions d’exercice se durcissent : • le glanage est autorisé seulement après que les gerbes du seigneur, et/ou celles de la dîme, ont été enlevées ; • le glanage est interdit tant que des gerbes se trouvent encore à terre ; • le glanage des chaumes (utiles comme fourrage, litière, couverture des toits) est interdit avant septembre. À certains endroits, le seigneur veut même interdire le glanage, ce qui provoque émeutes et résistances diverses.
XVIIIe siècle Le droit de glanage, comme d’autres droits d’usage ancestraux, n’a jamais disparu, note l’historienne de la Révolution Florence Gauthier (Université Paris VII) : « Ces droits d’usage dont il est difficile de connaître l’origine exacte, réapparaissent aujourd’hui portés par des personnes qui en ont une connaissance lointaine ou qui simplement les réinventent, spontanément. Ils n’ont jamais disparu »
C’est un droit ayant traversé les siècles mais qui se voit quelquefois contrarié par des arrêtés municipaux, « anti-glanage » ou « anti-mendicité », souvent d’ailleurs in fine annulés, comme par exemple dans la commune de Nogent-sur-Marne.
« …la subversion de l’Europe par le régime nazi. Celui-ci à son tour a été détruit par l’intervention américaine, qui n’attendait que cette occasion pour se substituer à l’Europe dans la domination de l’occident. »
C’est certainement votre intime conviction, mais avez vous lu, ne serait-ce que, « Wall Street et l’ascension de Hitler » de Antony Cyril Sutton ?