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juriste, consultant, chroniqueur dans des revues juridiques
pragmatique,agnostique, hédoniste non épicurien
A l’instar de Boris Vian, plus que le bonheur de tous, c’est le bonheur de chacun qui m’importe

Tableau de bord

  • Premier article le 26/10/2009
  • Modérateur depuis le 03/11/2009
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Derniers commentaires



  • jps jps 9 octobre 2009 19:28

    Rough a raison
    Frédéric Mitterand a écrit :

    Mon garçon n’a pas dit un mot, il se tient devant moi, immobile, le regard toujours aussi droit et son demi-sourire aux lèvres. J’ai tellement envie de lui que j’en tremble.[...] Dans chaque club, les garçons se tiennent sur la scène très éclairée par petits groupes de quatre ou six ; ils portent la tenue distincte de l’établissement et de sa spécialité, minimale et sexy[..]Le numéro est accroché à l’aine, en évidence. La plupart d’entre eux sont jeunes, beaux, apparemment épargnés par la dévastation qu’on pourrait attendre de leur activité. J’apprendrai plus tard qu’ils ne viennent pas tous les soirs, sont souvent étudiants,[..] quand les gosses n’en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages et les enchaîne, les maladies [..] Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément [..] il me plaît au-delà du raisonnable. La profusion de garçons très attrayants, et immédiatement disponibles, me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de refréner ou d’occulter. [..] il a plus de mal à retirer son pantalon et son caleçon américain, il évite mon regard, un fond de pudeur, une ombre d’inquiétude peut-être devant mon comportement qui doit lui paraître exagéré, insolite. Ces gosses ont largement l’habitude des hommes bien qu’ils ne les aiment pas vraiment [..] il y revient autant que je le souhaite, lèvres fraîches, langue en profondeur, salive salée de jeune mâle sans odeur de tabac ni d’alcool. Sa peau est d’une douceur exquise, son corps souple se plie quand je l’effleure et quand je le serre.

    Pourtant cet aveu ne s’accompagne d’aucun remords apparent. Ne se trouve-t-on pas dans une apologie implicite ?



  • jps jps 9 octobre 2009 18:49

    @ Dédalus qui se croit intellectuellement au dessus de tous (je préfère ne pas divulguer mon niveau par modestie mais sur AV certains le connaissent)

    ces écrits de Frédéric Mitterand ils ne sont pas inventés :

    Mon garçon n’a pas dit un mot, il se tient devant moi, immobile, le regard toujours aussi droit et son demi-sourire aux lèvres. J’ai tellement envie de lui que j’en tremble.[...] Dans chaque club, les garçons se tiennent sur la scène très éclairée par petits groupes de quatre ou six ; ils portent la tenue distincte de l’établissement et de sa spécialité, minimale et sexy[..]Le numéro est accroché à l’aine, en évidence. La plupart d’entre eux sont jeunes, beaux, apparemment épargnés par la dévastation qu’on pourrait attendre de leur activité. J’apprendrai plus tard qu’ils ne viennent pas tous les soirs, sont souvent étudiants,[..] quand les gosses n’en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages et les enchaîne, les maladies [..] Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément [..] il me plaît au-delà du raisonnable. La profusion de garçons très attrayants, et immédiatement disponibles, me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de refréner ou d’occulter. [..] il a plus de mal à retirer son pantalon et son caleçon américain, il évite mon regard, un fond de pudeur, une ombre d’inquiétude peut-être devant mon comportement qui doit lui paraître exagéré, insolite. Ces gosses ont largement l’habitude des hommes bien qu’ils ne les aiment pas vraiment [..] il y revient autant que je le souhaite, lèvres fraîches, langue en profondeur, salive salée de jeune mâle sans odeur de tabac ni d’alcool. Sa peau est d’une douceur exquise, son corps souple se plie quand je l’effleure et quand je le serre.


    Je souligne qu’il narre ce qu’il a pratiqué.

    Si ce n’est pas de la pédophilie, qu"est-ce ? Cher Dedalus donneur de leçon



  • jps jps 9 octobre 2009 15:56

     @auteur (zacharie)

    vous ramez ... vous avez du mal à vous justifier

    apprenez déjà à lire vos interlocuteurs : dans l’extrait que j’ai repris Mitterand fait référence à ses actes !



  • jps jps 9 octobre 2009 15:33

    @ auteur
    vous avez perdu une occasion de vous taire.
     
    Vous ne pouvez pas penser par vous même, au lieu de prendre référence sur un tel ou telle ?

    ce que vous qualifiez de meute (à l’instar de Finkielkraut que vous semblez affectionner ,exceptées quelques menues critiques), c’est le peuple (la populasse, la classe moyenne et les gens d’en bas) qui n’accepte pas le positionnement des élites.

    minimiser des faits hautement condamnables, est ce cela l’ouverture d’esprit ?

    lisez le livre de Mitterand , cela ne souffre d’aucune ambiguité.

    Par ailleurs on peut être pour la liberté sexuelle (ce que je pense) au demeurant il y a des limites (par exemples : la contrainte, la pédophilie)

    les gens de droites seraient libertin et les gens de gauche, prudes ??? quelle niaiserie !



  • jps jps 9 octobre 2009 13:56

    @ Alpo
    tout à fait d’accord
    car Mitterand a écrit :

    "Mon garçon n’a pas dit un mot, il se tient devant moi, immobile, le regard toujours aussi droit et son demi-sourire aux lèvres. J’ai tellement envie de lui que j’en tremble.[...]
    Dans chaque club, les garçons se tiennent sur la scène très éclairée par petits groupes de quatre ou six ; ils portent la tenue distincte de l’établissement et de sa spécialité, minimale et sexy[..]Le numéro est accroché à l’aine, en évidence. La plupart d’entre eux sont jeunes, beaux, apparemment épargnés par la dévastation qu’on pourrait attendre de leur activité. J’apprendrai plus tard qu’ils ne viennent pas tous les soirs, sont souvent étudiants,[..] quand les gosses n’en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages et les enchaîne, les maladies [..] Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément [..] il me plaît au-delà du raisonnable. La profusion de garçons très attrayants, et immédiatement disponibles, me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de refréner ou d’occulter. [..] il a plus de mal à retirer son pantalon et son caleçon américain, il évite mon regard, un fond de pudeur, une ombre d’inquiétude peut-être devant mon comportement qui doit lui paraître exagéré, insolite. Ces gosses ont largement l’habitude des hommes bien qu’ils ne les aiment pas vraiment [..] il y revient autant que je le souhaite, lèvres fraîches, langue en profondeur, salive salée de jeune mâle sans odeur de tabac ni d’alcool. Sa peau est d’une douceur exquise, son corps souple se plie quand je l’effleure et quand je le serre.

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