Aux anti nucléaires primaires : je ne suis pas un fana du nucléaire, mais pendant une période transitoire, qui va arriver très très vite, on sera bien content de les avoir nos centrales pour produire notre électricité.
Vous critiquez le lobby nucléaire à tout bout de champ, mais pas un mot sur le lobby pétrolier, chimique, etc.
Et vous ne voyez pas, tellement la poutre que vous avez dans les yeux est énorme, que les éoliennes sont imposées par leur propre lobby à la tête duquel Véolia (dont le PDG est un intime de vous savez qui) ;
Que les conditions dans lesquelles elles se développent (hors de toute considération sur l’éfficacité énergétique nette prenant en compte l’énergie nécessaire à leur construction (acier, béton)), en particulier les tarifs de rachat de l’énergie produite par EDF (donc le consommateur) exorbitants, en font tout simplement des rentes pour ceux qui les possèdent ;
Que l’argent qui va être dépensé pour ce programme éolien tient du gaspillage destiné à enrichir quelques actionaires, avec la bénédiction des pouvoirs publics qui ne pensent qu’à la com qu’ils pourront tirer de ces moulins à vent, et qu’il serait mille fois plus utile et efficace placé dans une vraie politique de soutien aux économies d’énergie et d’isolation des bâtiments.
Oui à l’éolien mais au large des cotes où les nuissances sont moindres, et les vents beaucoup plus réguliers.
Le solaire quant à lui a un potentiel mille fois plus prometeur. Je ne parle pas des panneaux photovoltaiques, mais de l’éctricité thermosolaire. (je pense au projet DESERTEC voir ce lien : http://www.trec-france.org/)
Ne blamez pas tant les politiques, parce qu’ils savaient et qu’ils n’ont rien fait ! En démocratie, Tocqueville l’avait écrit au XVIIIe siècle, on a les dirigeants qu’on mérite, ils ne sont pas à l’avant garde mais expriment l’opinion générale : les français voulaient majoritairement gagner plus pour consommer plus, avoir une plus grosse voiture et une plus grosse maison, et ne voulaient pas entendre parler ni de rarification des matière premières, ni de pic de pétrole, ni d’effet de serre et encore moins d’empreinte écologique.