« En quoi les petit fils d’un écrivain devraient touchés des droits d’auteurs, alors qui non aucun mérite dans l’œuvre. »
Hum. En quoi les enfants d’une personne devraient toucher un héritage, alors qu’ils n’ont jamais travaillé à l’établissement du-dit capital ?
Sur le papier la différence est minime. Et le problème est là : la fameuse porte ouverte à tout.
Exactement le même soucis avec la loi sus-citée.
De plus, le sujet central de votre message n’a rien à voir avec la loi critiquée. Elle ne cible pas les oeuvres de personnes décédées, mais les oeuvres non rééditées.
Donc un auteur vivant mais à l’ouvrage non réédité sur papier ne gagnera plus de droits d’auteurs, mais les ayants-droits d’un auteur mort dont l’ouvrage est toujours réédité récolteront toujours les lauriers.
Cherchez l’erreur.
Par extension de ’porte ouverte’, à quand les éditeurs choisissant de ne plus éditer d’ouvrage juste pour pouvoir les mettre à disposition en numérique avec une plus grosse marge éditeur ? Avec une loi comme celle-là, ça ne prendra que quelques mois.