Heu !!!Là, y’a un ange qui passe…que veut-il nous
signifier ?
Il faut tirer les leçons des précédents : pour Guareta
et l’hormone de croissance, le sang et les pleurs ont séché. Pour l’hormone :
l’infraction pourtant caractérisée a abouti à l’absolution.
Pour tout ce que vous avez surligné en noir, convenez
en, on va vous rire au nez.
Vous allez perdre en crédibilité et déshonorer, par le
passage, les contestataires pertinents des vaccinations obligatoires.
Amha, ce qu’il faut gagner c’est le combat contre l’obligation.
Par là même, s’inscrira par démonstration tout ce qui
constitue l’escroquerie de la pratique vaccinale qui sévit depuis tellement
longtemps et qui consiste à présenter son enfant au Moloch.
De là, les gens scrupuleux qui ont pris le temps de
véritablement et honnêtement se pencher sur ce fait significatif de société ne
seront pas indûment et durement embêtés par la discrimination injuste.
J’ai moinssé Doctorix ( c’est la première fois) pour sont
post du 06 01 à 8h20 ; J’ai plussé pour celui de 8h47. Pour l’ensemble des
motifs, la différence entre les deux, c’est que l’on peut tout à fait choisir
le premier si l’on veut perdre son temps et son argent en plus que sa patience.
Il semble que les malades se « choisissent » leur(s)
symptôme(s) parmi ceux disponibles, ainsi que l’intensité. J’ai entendu parler
d’atteinte « psychologique » après forte fièvre sans savoir de quoi
il s’agissait.
Je confirme qu’il est documenté
qu’à l’occasion de repassage de plat pour un autre sérotype la dengue serait alors
plus sévère. Ce qui se constate dans l’affection naturelle doit pouvoir se
vérifier avec le scénario vaccination suivi d’exposition ultérieure à la
maladie : une sorte de mordançage du terrain, qui, au contraire d’immunisation, aboutit à une hypersensibilisation.
Le monde à l’envers !
Ce génie infectieux si
particulier nous suggèrerait alors une remise en cause du grand principe de la vaccination
en général.
C’est peut -être pour ces trois raisons qu’on l’appelle
comme ça, la dengue.
En 2000 débarque sur l’île ( 5000 âmes) venue dont ne sait où,
subrepticement bien sûr, la dengue. Ah zut ! c’est la forme hémorragique.
Tout le monde y passe comme sous les caudines.
On apprend que dans cette maison, (exceptionnellement) il y
a eu une très forte fièvre, là une forte céphalée…etc. Tout le monde fait le
gros dos en attendant que ça passe.
Dans la famille, on a tous des symptômes différents :
petite fièvre insignifiante (signant l’infection), petit mal à la tête –en bref
épisode ; ceci pour deux enfants. Le troisième s’est plaint de … rien. Pour
la maman : un peu de fièvre, et une éruption rouge très étendue qui gratte ;
- deux-trois jours. Pour moi, idem mais une éruption qui gratte pas, avec un
fort goût métallique dans la bouche qui a bien duré une semaine.
En somme pour cette famille de cinq : un épisode
infectieux qui n’a guère eu d’impact dans les activités quotidiennes, et qu’on
peut indubitablement qualifié de très bénin.
Il s’est trouvé une hospitalisation pour un très jeune
enfant. Les soins ont consisté en une surveillance et à pallier une éventuelle complication
hémorragique qui se soigne simplement et rapidement –dixit la presse locale. Renseignement
pris par ailleurs ultérieurement et à l’époque, cette assertion est exacte.
Pour nous amuser un peu, ce point précédent est à rapprocher
d’une phrase de l’article qui nous dit : « ….les experts de Sanofi ont affirmé, que
la vaccination allait permettre de réduire (voire d’éradiquer !) ce fléau
promettant de « prévenir 8 hospitalisations liées à la dengue sur 10, et jusqu’à
93 % des cas de dengue sévère, dont une forme rare mais potentiellement
mortelle appelée dengue hémorragique ».
Il est empâté ce moustique d’illustration.
Dans la « réalité » il est très fin, très beau avec son zebrage noir –blanc.
C’est un piqueur –injecteur -suceur émérite, harceleur autant qu’impénitent.
Précisions : la sémiologie décrite fait inévitablement penser
à une maladie éprouvante même si elle guérit spontanément au bout d’une
semaine. On se dit à sa lecture qu’il vaut mieux ne pas y être confronté à
« ce fléau » « défi sanitaire majeur au Brésil » ; y’a des
complications…même des morts !
La dengue est extrêmement contagieuse, du type explosif pour
finir par s’éteindre assez rapidement quand elle a fait « le plein ».
Elle a cette particularité de prendre en enfilade les habitants d’un coté de la
route…au gré du déplacement du moustique infecté.
Quatre sérotypes de dengue « dont une forme rare mais potentiellement mortelle appelée
dengue hémorragique ». Les trois autres correspondant à « des formes
habituelles bénignes », c’est qui est le plus couramment admis. Ce
serait pour la forme hémorragique que correspondrait le vaccin…