J’ai toujours trouvé le concept de l’esperanto intéressant, malgré une réticence bien naturelle à son apprentissage et son utilisation.
Maintenant, si on se fie à notre bon vieux français, les nouvelles générations gavées de twiteriseries, de sms et autres condensés d’information montrent les limites d’une langue somme toute géniale car riche et douce, mais dont les subtilités sont de moins en moins en phase avec l’évolution de la société.
Pour preuve : plus ça va, plus les lettres de candidatures que je reçois sont parsemées d’horreurs lexicales, de maladresses d’écriture etc. Ayant pour habitude, dans une sélection de jeter : - les lettres de motivation imprimées dont le contenu est trop général - les lettres de motivation avec des erreurs à chaque ligne , je me demande, avec le peu qu’il me reste, s’il ne va pas falloir faire le premier tri autrement, car sur 15 lettres, 3 sont respectables, et ce quelques soit le niveau d’études (aller, j’y vais un peu fort, 50% de bonnes pour les cadres).
La dernière en date, écrite par un lycéen en recherche de stage : je me suis demandé s’il n’était pas dyslexique (ça arrive). Mais non, aucun effort n’a été fait. Vu que le profil était intéressant, j’ai rappelé, en demandant une autre lettre de motiv’ soignée.. et manuscrite. Erreur, grave erreur, ce fut bien pire, car les même fautes étaient reproduites, mais avec une écriture digne d’un CP écrivant avec les pieds.
Alors quid de l’esperanto ? Une grammaire simplifiée, et une possibilité d’internationalisation, c’est intéressant, mais j’ai bien peur que cela ne reste que du domaine du rêve... J’vais me renseigner quand même. Avons nous des stats sur le nombre de personnes qui parlent l’esperanto, par pays ?
L’industrie de l’or se sépare en quatre grandes catégories. La
bijouterie consomme environ un tiers de la production. Les banques
achètent de l’or en compensation des émissions de monnaie (environ un
tiers de la production mondiale). Les particuliers achètent un quart de
la production mondiale sous forme de pièces et de lingots. Le restant
(à peu près 10 %) est utilisé dans l’industrie, notamment dans la dorure."
Son utilisation dans l’industrie est bien moins importante que le nickel, le platine ou autres. Il faudrait connaitre la proportion d’or exploité chaque année, et quelle partie part dans les coffres, à mon avis, on aurait des surprises. En tous cas, dans l’industrie conventionnelle (hors spatiale etc), j’ai du mal à trouver de l’or, faudra m’expliquer...
Et pour cette « spécialiste », heuu, j’ai beau googleler, je trouve pas grand chose... Si vous avez des liens, je suis preneur, sinon...
C’est comme ces scientifiques qui nous annoncent des comètes qu’on va se prendre sur la tronche, et au bout de qlq semaines, « Ah bah non, elle va passer trèèèèès près ».
Du spectacle pour rats de laboratoire en mal de notoriété, guère plus.
Chiffres très, voir trop alarmistes, notamment concernant le fer et l’alu. A croire que certains scientifiques, pour se faire un nom, sont obligé de jouer au sensationnalisme, et qu’en faisait peur aux pauvres gens du monde que nous sommes, on va les écouter et les respecter.
Le recyclage des métaux n’en est qu’à ses début, et il y a fort à parier qu’une fois que certains métaux deviendront rares, les prix augmentant, le retraitement va devenir économiquement viable, et donc permettre de prolonger bien au delà de ces chiffres l’utilisation de ces matières.
L’Or ? Ma fois, c’est loin d’être un matériau très usité dans l’industrie, et la production actuelle doit certainement filer directement dans des coffres pour la majeur partie. Y’a qu’à voir le diamant : la de beers contrôle la quasi totalité du marché et joue sur les prix, c’est un matériau rare à l’état naturel, mais on a réussi à en produire, et aujourd’hui, il y a du diamant dans quasi toutes les entreprises, sous quelques forme que ce soit.
Ce qui me chagrine, c’est ce genre de message, tout à fait équivalent à « les fonctionnaires sont tous des feignasses ».
Non, un Manager, c’est pas un requin qui a son salaire indexé à l’inverse du moral des troupes.
Non, un Manager, c’est pas la belle vie, quand les choses vont bien, c’est grâce à son équipe, quand elles vont mal, c’est de sa faute.
Non, le cost-killing n’est pas synonyme d’employee-killing.
La recherche du « max de profit », c’est pas comme celà que la plus part des entreprises fonctionnent. Du profit oui, mais pas à tout prix.
Pour FT, c’est un changement de mentalité qui fait très très mal, quand on passe du public au privé... Et pour me mettre sur la même ligne que vous, de la glande au travail. Même si je n’en pense pas un mot.