C’est clair, entre choisir à sacrifier une personne et en sauver 100 ou en choisissant d’en tuer 101 en laissant les commandes de l’appareil à un pelot avec un cutter, tu dois bien te tâter quand même...
Remarque que le fantasme de l’hôtesse est assez présent dans le cerveau masculin, il a du se dire qu’il aurait droit à sa petite récompense hein ?
Quelle bonne blague toute cette histoire.
Mais comme le rappelle l’auteur, ces hommes étaient exceptionnels, de vrais sur-hommes.
Mais si Ze Katt, l’auteur nous explique que justement ce sont des surhommes, des hommes d’exception que l’on envie parce qu’ils sont balaises et que nous on est nuls...
On est d’accord. Ma conclusion ? Que l’on arrête de faire l’autruche et que l’on prenne enfin les mesures nécessaires.
Par exemple en arrêtant de baisser le pantalon et de tout apporter sur un plateau à des gens qui ne veulent pas s’intégrer, malgré qu’ils soient français.
Par exemple :
- On "tolère" 3 écarts de conduit (GAV, poste de police), et on redonne de vraies chances de s’en sortir, mais au bout du 4ème, comme finalement les parents n’élèvent pas leur gosse qui traine dans la rue, ils n’ont pas besoin des allocs.
Ce qui serait bien aussi mais ce n’est pas demain la veille, c’est que l’agresseur paie pour son méfait. Qu’il indemnise de sa poche la victime et qu’il subisse vraiment les conséquences de son acte comme il est écrit dans les textes de loi. Mais pour certaints c’est facultatif cette étape.
- Les gens qui se vantent de "niquer la france" sont souvent les premiers à pointer au bureau des aides sociales, doit-on continuer à les entretenir ?
- Pourquoi certains élus PS financent les mosquées à la pelle ? Il me semble que la plupart des français ne veulent pas entendre parler de religion au 21è sècle, et encore moins de la plus barbare de toutes...
Je pourrais m’étaler sur le sujet, mais ce que je dis vuos le savez déjà. Il faut juste le courage politique pour que les dérives cessent. Mais le jour où quelqu’un s’y risquera, ce sera encore plus dangereux que d’habitude dans la rue.