Quand l’Etat abandonne le monopole de la “violence légitime”, il laisse un vide dont, c’est bien connu, la nature a horreur.
Quelles que soient les prétextes justifiant le désengagement de l’Etat, rien ne destine les organisations dédiées aux trafics illicites et les organisations religieuses activistes à être les seules à reprendre le terrain.
L’état en oubliant de répondre efficacement à ce besoin essentiel, laisse le champ est libre à de nouveaux acteurs qui ne s’embarrasseront pas de scrupules.